Abidjan- L’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Georges Serre, a invité mercredi à Abidjan, les états de l’union économique monétaire ouest africaine (UEMOA) à ratifier la convention médicrime pour lutter contre le trafic de faux médicaments.
« C’est l’occasion pour la France de lancer un appel aux états de l’EMOA pour la ratification de cette convention par le grand nombre d’Etats », a-t-il déclaré à l’occasion d’un débat sur les faux médicaments animé par Igor Strauss, journaliste à RFI et par Marceline Gnéproust, journaliste à Fraternité-Matin en présence d’experts internationaux et nationaux dans le cadre de la semaine de la lutte contre les faux médicaments.
Selon M. Serre, cette convention est la première au niveau international qui criminalise le commerce de faux médicaments et à cet égard, la France vient de la ratifier. Jusqu’à présent, a-t-il souligné, les criminels dans ce secteur bénéficiaient de l’impunité.
Pour lui, en plus de la ratification de cette convention, il faut garantir l’accès à des produits de qualité à un coût abordable en insistant sur deux volets à savoir le renforcement des agences de médicaments car les recours des stocks de prix trop élevé favorise le recours aux faux médicaments et c’est d’ailleurs pourquoi, a-t-il précisé que la France accompagne la Côte d’Ivoire pour la création de la première agence de régulation de médicaments en Afrique de l’ouest.
Il a également souligné que, concernant la question de prix des médicaments, le président français, François Hollande, a demandé au G7, une régulation des prix de médicaments pour permettre l’accès de tous aux thérapies les plus innovantes et faire en sorte que partout dans le monde, le prix de médicaments puisse être maitrisé et régulé pour que les personnes malades puissent être traitées avec dignité et espoir.
La convention Médicrime est une convention internationale qui constitue, pour la première fois, un instrument juridique contraignant dans le domaine du droit pénal en criminalisant la contrefaçon mais aussi la fabrication et la distribution de produits médicaux mis sur le marché sans autorisation ou en violation des normes de sécurité, note-t-on.
sdaf/kam
« C’est l’occasion pour la France de lancer un appel aux états de l’EMOA pour la ratification de cette convention par le grand nombre d’Etats », a-t-il déclaré à l’occasion d’un débat sur les faux médicaments animé par Igor Strauss, journaliste à RFI et par Marceline Gnéproust, journaliste à Fraternité-Matin en présence d’experts internationaux et nationaux dans le cadre de la semaine de la lutte contre les faux médicaments.
Selon M. Serre, cette convention est la première au niveau international qui criminalise le commerce de faux médicaments et à cet égard, la France vient de la ratifier. Jusqu’à présent, a-t-il souligné, les criminels dans ce secteur bénéficiaient de l’impunité.
Pour lui, en plus de la ratification de cette convention, il faut garantir l’accès à des produits de qualité à un coût abordable en insistant sur deux volets à savoir le renforcement des agences de médicaments car les recours des stocks de prix trop élevé favorise le recours aux faux médicaments et c’est d’ailleurs pourquoi, a-t-il précisé que la France accompagne la Côte d’Ivoire pour la création de la première agence de régulation de médicaments en Afrique de l’ouest.
Il a également souligné que, concernant la question de prix des médicaments, le président français, François Hollande, a demandé au G7, une régulation des prix de médicaments pour permettre l’accès de tous aux thérapies les plus innovantes et faire en sorte que partout dans le monde, le prix de médicaments puisse être maitrisé et régulé pour que les personnes malades puissent être traitées avec dignité et espoir.
La convention Médicrime est une convention internationale qui constitue, pour la première fois, un instrument juridique contraignant dans le domaine du droit pénal en criminalisant la contrefaçon mais aussi la fabrication et la distribution de produits médicaux mis sur le marché sans autorisation ou en violation des normes de sécurité, note-t-on.
sdaf/kam