Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, a exprimé sa détermination de doter la Côte d’Ivoire d’une nouvelle constitution qui "rassure, donne plus de visibilité et garantit l’équité afin de permettre au pays d’entrer dans une nouvelle ère".
M. Ouattara qui s’exprimait lors d’un entretien, jeudi, avec le Forum des inspections générales d’Etat d’Afrique et institutions assimilées, a expliqué que le projet de constitution qui sera soumis à référendum le 30 octobre prochain fait amorcer au pays un retour aux fondamentaux qui ont permis à la Côte d’Ivoire d’avoir la stabilité et la paix.
Le chef de l’Etat a expliqué que le poste de vice-président de la République institué par ce projet de loi fondamentale, permettra d’éviter toute perturbation de la gouvernance, et l’introduction du Sénat favorisera le renforcement du débat démocratique avec la présence de tous les courants de pensée et tous les partis politiques. « En nommant le tiers du sénat, ce sera une occasion pour le président de la République de nommer les personnalités notamment de l’opposition qui ont occupé de hauts postes de responsabilité. Nous ne voulons pas d’un sénat composé de membres de parti dominant que nous sommes », a-t-il ajouté.
Par ailleurs, le chef de l’Etat, rassurant les Ivoiriens qu’il ne briguera pas un troisième mandant, a réaffirmé sa volonté et celle de son aîné, Henri Konan Bédié, de préparer avec cette nouvelle constitution, la transmission du pouvoir à une nouvelle génération dès 2020.
M. Ouattara qui s’exprimait lors d’un entretien, jeudi, avec le Forum des inspections générales d’Etat d’Afrique et institutions assimilées, a expliqué que le projet de constitution qui sera soumis à référendum le 30 octobre prochain fait amorcer au pays un retour aux fondamentaux qui ont permis à la Côte d’Ivoire d’avoir la stabilité et la paix.
Le chef de l’Etat a expliqué que le poste de vice-président de la République institué par ce projet de loi fondamentale, permettra d’éviter toute perturbation de la gouvernance, et l’introduction du Sénat favorisera le renforcement du débat démocratique avec la présence de tous les courants de pensée et tous les partis politiques. « En nommant le tiers du sénat, ce sera une occasion pour le président de la République de nommer les personnalités notamment de l’opposition qui ont occupé de hauts postes de responsabilité. Nous ne voulons pas d’un sénat composé de membres de parti dominant que nous sommes », a-t-il ajouté.
Par ailleurs, le chef de l’Etat, rassurant les Ivoiriens qu’il ne briguera pas un troisième mandant, a réaffirmé sa volonté et celle de son aîné, Henri Konan Bédié, de préparer avec cette nouvelle constitution, la transmission du pouvoir à une nouvelle génération dès 2020.