Les partisans du « Non » au projet de nouvelle Constitution ivoirienne annoncent des manifestations à travers le pays pour « faire échec » à ce projet dont le référendum en vue de son adoption ou non est prévu le 30 octobre.
Lors d’un meeting coorganisé samedi à la Place CP1 de Yopougon (Abidjan) par le Front du refus et la Coalition pour le « Non » au référendum, Henriette Lagou, l’un des leaders de la Coalition, a appelé les femmes à des manifestations à travers le pays pour emmener le gouvernement à mettre fin à ce processus.
Ces derniers se disent notamment opposés à la création d’un poste de vice-président de la République proposé par le projet de Constitution, qui selon eux consacre un président « hyper puissant ».
L’avant-projet de Constitution ivoirienne a été adopté par l’Assemblée nationale le 12 octobre. Pour le président de la République, Alassane Ouattara, ce texte qui institue, entre autres, un poste de vice-président et constitutionnalise la parité entre les genres et la Chambre des rois et chefs traditionnels, et consacre une «séparation nette des pouvoirs », vise à garantir au pays une stabilité et une paix durable.
En cas d’adoption au référendum, le 30 octobre, cette Constitution fera entrer la Côte d’Ivoire dans la troisième République.
tg/tm
Lors d’un meeting coorganisé samedi à la Place CP1 de Yopougon (Abidjan) par le Front du refus et la Coalition pour le « Non » au référendum, Henriette Lagou, l’un des leaders de la Coalition, a appelé les femmes à des manifestations à travers le pays pour emmener le gouvernement à mettre fin à ce processus.
Ces derniers se disent notamment opposés à la création d’un poste de vice-président de la République proposé par le projet de Constitution, qui selon eux consacre un président « hyper puissant ».
L’avant-projet de Constitution ivoirienne a été adopté par l’Assemblée nationale le 12 octobre. Pour le président de la République, Alassane Ouattara, ce texte qui institue, entre autres, un poste de vice-président et constitutionnalise la parité entre les genres et la Chambre des rois et chefs traditionnels, et consacre une «séparation nette des pouvoirs », vise à garantir au pays une stabilité et une paix durable.
En cas d’adoption au référendum, le 30 octobre, cette Constitution fera entrer la Côte d’Ivoire dans la troisième République.
tg/tm