Nialé Kaba, ministre du Plan et du Développement :" Les Ivoiriens qui veulent aller de l’avant ont compris le message"
" Ce sont des moments historiques pour la Côte d’Ivoire qui sort d’une longue crise. L’appel, nous l’avons entendu. C’est une Constitution qui va mettre ces années d’instabilité et de crise, derrière nous. Je pense que dans le pays profond, les Ivoiriens qui veulent aller de l’avant ont compris le message. Nous allons mobiliser nos parents pour voter avec une forte majorité cette Constitution. Ce n’est pas une question de parti politique. Je pense qu’aujourd’hui, c’est pour la paix, la stabilité, le développement de notre pays. Je voudrais demander à tous les Ivoiriens de se rendre massivement aux urnes le 30 Octobre pour voter cette Constitution ".
Kandia Camara, ministre de l’Education nationale : " Avec cette Constitution, personne ne pourra s’éterniser au pouvoir
" Je qualifierai aujourd’hui la position de l’opposition, d’incongrue et d’aberrante. Parce que tous les principaux acteurs de l’opposition ont participé à toutes les rencontres. Que ce soit à Accra, Lomé et surtout à Linas-Marcoussis, tous les acteurs de l’époque, ceux qui sont aujourd’hui dans l’opposition, notamment le FPI, étaient présents. Ils étaient à Linas Marcoussis où il y a eu un accord. Or, la présente Constitution, s’est appuyée sur l’Accord de Linas Marcoussis. Je ne peux pas comprendre qu’ils s’accordent sur quelque chose à Linas Marcoussis, que l’opposition qui était le parti au pouvoir par le passé, demande que l’accord de Marcoussis qui a été concrétisé, reconnu et endossé par l’ONU, demande que cet accord soit appliqué en Côte d’Ivoire. Maintenant qu’on demande de l’appliquer à travers cette nouvelle Constitution, ces mêmes personnes s’opposent. Je crois qu’il faut arrêter de s’opposer pour s’opposer. Il faut respecter ses engagements. Il faut respecter sa signature. Il faut respecter sa parole. C’est ce que le Président Alassane Ouattara vient de faire et je demande à l’opposition de faire exactement la même chose.
Je lance un appel à tous les Ivoiriens, notamment aux femmes. Je voudrais demander à toutes les femmes de Côte d’Ivoire, de comprendre que le référendum n’est pas une élection politique. Le référendum n’est pas une élection qui concerne les partis politiques. C’est un vote qui concerne l’ensemble des Ivoiriennes et des Ivoiriens. Donc, je lance un appel à toutes les femmes de Côte d’Ivoire quelque soient leurs origines, leurs appartenances politiques, qu’elles soient de la société civile, de sortir massivement le 30 Octobre 2016 pour aller voter la Constitution qui est la nôtre. Car la Constitution de 2016, c’est la Constitution des femmes de Côte d’Ivoire, c’est la Constitution des enfants et des hommes de Côte d’Ivoire. C’est notre Constitution. Elle nous concerne. C’est une Constitution qui rendra nos familles heureuses".
Sidiki Konaté, secrétaire général adjoint du Rdr chargé du monde associatif et des syndicats :
" Que l’opposition exprime son mécontentement par le vote "
" C’était une très belle cérémonie. C’est le lancement de la campagne. Toutes les attentes se sont réunies. Le président a encore engagé le peuple de Côte d’Ivoire à soutenir cette Constitution dont il a donné les axes-clés. Il a été soutenu ici encore par le président, Henri Konan Bédié et je pense que c’est un bon départ. À partir de cet instant, toutes les délégations devraient retourner vers leurs bases pour une semaine de campagne intensive. Que l’opposition exprime son mécontentement par le vote. Ils ont la possibilité de dire non. En disant non, on sera obligé de revenir sur les textes. Donc, il n’y a pas de faux jeu".
Amadou Gon Coulibaly, secrétaire général de la Présidence :
" Le président, Alassane Ouattara ne se représentera pas "
"Nous sommes très heureux par la mobilisation exceptionnelle à laquelle nous avons assistée. Nous sommes rentrés avec ce meeting en plein campagne référendaire. Et la mobilisation que nous avons, nous donne un grand espoir sur un Oui massif le 30 Octobre prochain qui permettra, comme le chef de l’État l’a dit, à la Côte d’Ivoire de rentrer dans une ère nouvelle. Une Côte d’Ivoire de paix, de stabilité et de progrès. Progrès pour chacune et chacun des Ivoiriens. Progrès pour les jeunes, pour les femmes, pour le monde paysan et pour ceux qui sont en ville comme dans le monde rural.
C’est aussi une Constitution qui permet d’accroître les libertés individuelles en Côte d’Ivoire. Une Côte d’Ivoire de rassemblement. Le président, Alassane Ouattara ne cesse de le dire, il ne se représentera pas. Il a répondu et il ne cesse de le dire. C’est un homme de parole. C’est un homme de vision. C’est à la Côte d’Ivoire qu’il pense pour la doter d’une nouvelle Constitution qui va favoriser la paix et l’espérance pour les générations futures".
Edjampan : "Que l’opposition vienne voter si"
" Il faut voter oui pour créer la nouvelle République. La République c’est quoi ? Ça veut dire d’oublier tous les palabres qu’on a connus. Il faut oublier. Ce n’est pas digne de la Côte d’Ivoire. C’est le pays d’Houphouët Boigny. J’ai mal parce qu’on n’avait pas à vivre tout ce qu’on a connu. Le président a eu raison. La nouvelle constitution, ce n’est pas pour lui. Il s’en va. Le président Bédié aussi. Même pas pour nous autres. C’est pour les jeunes. Le président est un homme de parole. Il n’est pas comme certains. Il ne sera pas candidat. Bédié ne sera pas candidat. Nous allons prendre des jeunes pour continuer la lutte. Car nous sommes fatigués. Si l’opposition reproche quelque chose à cette nouvelle constitution, qu’elle vienne voter ".
Adjoumani Kobenan, ministre des Ressources animales et porte-parole du Rhdp : " Point n’est besoin de manifester son opposition avec violence"
" Le président a donné un mot d’ordre. Nous sommes des ‘’soldats’’. Nous devons aller investir le terrain et faire triompher ce mot d’ordre. Pour nous, il n’y a pas lieu de tergiverser, nous allons mobiliser nos troupes, nous allons demander à tous les Ivoiriens, épris de paix, de sortir massivement voter cette nouvelle Constitution qui ouvre une porte nouvelle grâce à laquelle le développement, le bonheur partagé, en tout cas, tous les acquis en rapport avec le développement global et intégré sont maintenus.
Nous demandons à l’opposition de mettre bal à terre et de comprendre comme l’a dit le président de la République, que ce sont les accords issus de Linas Marcoussis qui se retrouvent dans cette Constitution. On ne peut pas se conformer seulement à leurs exigences. Il faut qu’ils acceptent aussi de se nourrir de la différence. Point n’est besoin de manifester son opposition avec violence. Ceux qui ne veulent pas y participer, c’est de leur devoir et c’est leur droit. Mais qu’ils sachent aussi que la majorité a accepté d’aller à ce vote. Il s’agit de la Côte d’Ivoire qui va adopter un texte dont l’objet consiste à ouvrir la porte grâce à laquelle la modernisation, le développement et la sécurité du pays vont se faire."
Akissi Delta, comédienne : "Quand on ne veut pas, on fait campagne pour dire votez non"
" Tout ce que j’ai retenu, c’est qu’il faut dire oui et je dis oui. Je n’ai pas envie de faire de la polémique. Mais ma façon de voir les choses est différente de celle des autres. Moi je pense que les marches ce n’est pas classiques pour revendiquer dans ce genre de situation. Quand on ne veut pas, on fait campagne pour dire aux militants, ne votez pas oui , votez non. Ça ne servira à rien de faire les histoires, c’est trop fatiguant. Que chacun fasse campagne de son côté. C’est le peuple qui décidera. C’est simple. Il vaut mieux que les gens s’entendent. Demain c’est toi, après c’est l’autre, c’est comme ça. Je prends l’exemple sur moi. Quoi qu’on dise de moi, je m’en fou. Tous les comédiens de Ma Famille vont tourner. Je m’en fou de ce qu’on peut raconter sur moi. Comme l’a dit Didier Drogba, il faut qu’on grandisse. Car les ivoiriens sont trop petits dans la tête ".
Korona Sekongo pour afrikipresse.fr
" Ce sont des moments historiques pour la Côte d’Ivoire qui sort d’une longue crise. L’appel, nous l’avons entendu. C’est une Constitution qui va mettre ces années d’instabilité et de crise, derrière nous. Je pense que dans le pays profond, les Ivoiriens qui veulent aller de l’avant ont compris le message. Nous allons mobiliser nos parents pour voter avec une forte majorité cette Constitution. Ce n’est pas une question de parti politique. Je pense qu’aujourd’hui, c’est pour la paix, la stabilité, le développement de notre pays. Je voudrais demander à tous les Ivoiriens de se rendre massivement aux urnes le 30 Octobre pour voter cette Constitution ".
Kandia Camara, ministre de l’Education nationale : " Avec cette Constitution, personne ne pourra s’éterniser au pouvoir
" Je qualifierai aujourd’hui la position de l’opposition, d’incongrue et d’aberrante. Parce que tous les principaux acteurs de l’opposition ont participé à toutes les rencontres. Que ce soit à Accra, Lomé et surtout à Linas-Marcoussis, tous les acteurs de l’époque, ceux qui sont aujourd’hui dans l’opposition, notamment le FPI, étaient présents. Ils étaient à Linas Marcoussis où il y a eu un accord. Or, la présente Constitution, s’est appuyée sur l’Accord de Linas Marcoussis. Je ne peux pas comprendre qu’ils s’accordent sur quelque chose à Linas Marcoussis, que l’opposition qui était le parti au pouvoir par le passé, demande que l’accord de Marcoussis qui a été concrétisé, reconnu et endossé par l’ONU, demande que cet accord soit appliqué en Côte d’Ivoire. Maintenant qu’on demande de l’appliquer à travers cette nouvelle Constitution, ces mêmes personnes s’opposent. Je crois qu’il faut arrêter de s’opposer pour s’opposer. Il faut respecter ses engagements. Il faut respecter sa signature. Il faut respecter sa parole. C’est ce que le Président Alassane Ouattara vient de faire et je demande à l’opposition de faire exactement la même chose.
Je lance un appel à tous les Ivoiriens, notamment aux femmes. Je voudrais demander à toutes les femmes de Côte d’Ivoire, de comprendre que le référendum n’est pas une élection politique. Le référendum n’est pas une élection qui concerne les partis politiques. C’est un vote qui concerne l’ensemble des Ivoiriennes et des Ivoiriens. Donc, je lance un appel à toutes les femmes de Côte d’Ivoire quelque soient leurs origines, leurs appartenances politiques, qu’elles soient de la société civile, de sortir massivement le 30 Octobre 2016 pour aller voter la Constitution qui est la nôtre. Car la Constitution de 2016, c’est la Constitution des femmes de Côte d’Ivoire, c’est la Constitution des enfants et des hommes de Côte d’Ivoire. C’est notre Constitution. Elle nous concerne. C’est une Constitution qui rendra nos familles heureuses".
Sidiki Konaté, secrétaire général adjoint du Rdr chargé du monde associatif et des syndicats :
" Que l’opposition exprime son mécontentement par le vote "
" C’était une très belle cérémonie. C’est le lancement de la campagne. Toutes les attentes se sont réunies. Le président a encore engagé le peuple de Côte d’Ivoire à soutenir cette Constitution dont il a donné les axes-clés. Il a été soutenu ici encore par le président, Henri Konan Bédié et je pense que c’est un bon départ. À partir de cet instant, toutes les délégations devraient retourner vers leurs bases pour une semaine de campagne intensive. Que l’opposition exprime son mécontentement par le vote. Ils ont la possibilité de dire non. En disant non, on sera obligé de revenir sur les textes. Donc, il n’y a pas de faux jeu".
Amadou Gon Coulibaly, secrétaire général de la Présidence :
" Le président, Alassane Ouattara ne se représentera pas "
"Nous sommes très heureux par la mobilisation exceptionnelle à laquelle nous avons assistée. Nous sommes rentrés avec ce meeting en plein campagne référendaire. Et la mobilisation que nous avons, nous donne un grand espoir sur un Oui massif le 30 Octobre prochain qui permettra, comme le chef de l’État l’a dit, à la Côte d’Ivoire de rentrer dans une ère nouvelle. Une Côte d’Ivoire de paix, de stabilité et de progrès. Progrès pour chacune et chacun des Ivoiriens. Progrès pour les jeunes, pour les femmes, pour le monde paysan et pour ceux qui sont en ville comme dans le monde rural.
C’est aussi une Constitution qui permet d’accroître les libertés individuelles en Côte d’Ivoire. Une Côte d’Ivoire de rassemblement. Le président, Alassane Ouattara ne cesse de le dire, il ne se représentera pas. Il a répondu et il ne cesse de le dire. C’est un homme de parole. C’est un homme de vision. C’est à la Côte d’Ivoire qu’il pense pour la doter d’une nouvelle Constitution qui va favoriser la paix et l’espérance pour les générations futures".
Edjampan : "Que l’opposition vienne voter si"
" Il faut voter oui pour créer la nouvelle République. La République c’est quoi ? Ça veut dire d’oublier tous les palabres qu’on a connus. Il faut oublier. Ce n’est pas digne de la Côte d’Ivoire. C’est le pays d’Houphouët Boigny. J’ai mal parce qu’on n’avait pas à vivre tout ce qu’on a connu. Le président a eu raison. La nouvelle constitution, ce n’est pas pour lui. Il s’en va. Le président Bédié aussi. Même pas pour nous autres. C’est pour les jeunes. Le président est un homme de parole. Il n’est pas comme certains. Il ne sera pas candidat. Bédié ne sera pas candidat. Nous allons prendre des jeunes pour continuer la lutte. Car nous sommes fatigués. Si l’opposition reproche quelque chose à cette nouvelle constitution, qu’elle vienne voter ".
Adjoumani Kobenan, ministre des Ressources animales et porte-parole du Rhdp : " Point n’est besoin de manifester son opposition avec violence"
" Le président a donné un mot d’ordre. Nous sommes des ‘’soldats’’. Nous devons aller investir le terrain et faire triompher ce mot d’ordre. Pour nous, il n’y a pas lieu de tergiverser, nous allons mobiliser nos troupes, nous allons demander à tous les Ivoiriens, épris de paix, de sortir massivement voter cette nouvelle Constitution qui ouvre une porte nouvelle grâce à laquelle le développement, le bonheur partagé, en tout cas, tous les acquis en rapport avec le développement global et intégré sont maintenus.
Nous demandons à l’opposition de mettre bal à terre et de comprendre comme l’a dit le président de la République, que ce sont les accords issus de Linas Marcoussis qui se retrouvent dans cette Constitution. On ne peut pas se conformer seulement à leurs exigences. Il faut qu’ils acceptent aussi de se nourrir de la différence. Point n’est besoin de manifester son opposition avec violence. Ceux qui ne veulent pas y participer, c’est de leur devoir et c’est leur droit. Mais qu’ils sachent aussi que la majorité a accepté d’aller à ce vote. Il s’agit de la Côte d’Ivoire qui va adopter un texte dont l’objet consiste à ouvrir la porte grâce à laquelle la modernisation, le développement et la sécurité du pays vont se faire."
Akissi Delta, comédienne : "Quand on ne veut pas, on fait campagne pour dire votez non"
" Tout ce que j’ai retenu, c’est qu’il faut dire oui et je dis oui. Je n’ai pas envie de faire de la polémique. Mais ma façon de voir les choses est différente de celle des autres. Moi je pense que les marches ce n’est pas classiques pour revendiquer dans ce genre de situation. Quand on ne veut pas, on fait campagne pour dire aux militants, ne votez pas oui , votez non. Ça ne servira à rien de faire les histoires, c’est trop fatiguant. Que chacun fasse campagne de son côté. C’est le peuple qui décidera. C’est simple. Il vaut mieux que les gens s’entendent. Demain c’est toi, après c’est l’autre, c’est comme ça. Je prends l’exemple sur moi. Quoi qu’on dise de moi, je m’en fou. Tous les comédiens de Ma Famille vont tourner. Je m’en fou de ce qu’on peut raconter sur moi. Comme l’a dit Didier Drogba, il faut qu’on grandisse. Car les ivoiriens sont trop petits dans la tête ".
Korona Sekongo pour afrikipresse.fr