Les électeurs des circonscriptions de Séguéla commune et sous-préfecture ne se bousculent pas dans les centres de distribution des cartes d’électeur pour leur retrait, a constaté l’AIP, lundi.
"Il n’y a pas d’affluence", a déclaré l’un des agents chargés de la tâche à la mairie, Yacouba Koné, qui est par ailleurs membre de la commission électorale régionale (CER) de Séguéla. En ce lieu où il y a les cartes des inscrits de la commune, ce sont 3 307 cartes de nouveaux majeurs et de personnes ayant changé de lieu de vote qui sont disponibles, a-t-on appris. Les agents de la Commission électorale indépendante (CEI) n’ont enregistré que 72 requérants, de lundi à vendredi.
Dans les centres de la sous-préfecture de Séguéla, "c’est au compte-gouttes que les gens arrivent’’, a déclaré le responsable de la CEI, Diomandé Abdouramane. "Beaucoup de personnes estiment qu’elles ne peuvent pas laisser les travaux champêtres pour venir en ville retirer la carte d’électeur", a-t-il tenté de justifier, surtout que celles-ci peuvent le faire sur place, le jour du vote.
Après la présidentielle de 2015, les Ivoiriens s’apprêtent, le 30 octobre, à aller à une consultation référendaire pour adopter une nouvelle Constitution, la troisième de leur histoire, après celle de 1958 et de 2000, rappelle-t-on.
kkp/ask
"Il n’y a pas d’affluence", a déclaré l’un des agents chargés de la tâche à la mairie, Yacouba Koné, qui est par ailleurs membre de la commission électorale régionale (CER) de Séguéla. En ce lieu où il y a les cartes des inscrits de la commune, ce sont 3 307 cartes de nouveaux majeurs et de personnes ayant changé de lieu de vote qui sont disponibles, a-t-on appris. Les agents de la Commission électorale indépendante (CEI) n’ont enregistré que 72 requérants, de lundi à vendredi.
Dans les centres de la sous-préfecture de Séguéla, "c’est au compte-gouttes que les gens arrivent’’, a déclaré le responsable de la CEI, Diomandé Abdouramane. "Beaucoup de personnes estiment qu’elles ne peuvent pas laisser les travaux champêtres pour venir en ville retirer la carte d’électeur", a-t-il tenté de justifier, surtout que celles-ci peuvent le faire sur place, le jour du vote.
Après la présidentielle de 2015, les Ivoiriens s’apprêtent, le 30 octobre, à aller à une consultation référendaire pour adopter une nouvelle Constitution, la troisième de leur histoire, après celle de 1958 et de 2000, rappelle-t-on.
kkp/ask