Faire des chefs coutumiers des ambassadeurs de la nouvelle constitution. C’est la mission que s‘est assigné le ministre Sidi Tiémoko Touré.
Ce dimanche 24 octobre 2016, il a rencontré les têtes couronnées du département de Béoumi en présence des députés Saraka Konan Adolphe, Konan Kouassi Maurice et du corps préfectoral. Pour le ministre Sidi Touré, les chefs garants de nos traditions ont le droit de savoir pourquoi ils doivent opter pour le « OUI ».
Les chefs coutumiers, religieux et associations de femmes sont venus nombreux des villages et quartiers pour écouter leur fils. Les différents messages explicatifs ont été véhiculés en français et dans les deux principales langues locales. Il s’agit du malinké et le baoulé.
A l’entame, le ministre Sidi Touré a fait l’historique de la nouvelle constitution qui est issue de l’accord de Linas-Marcoussis du 15 au 26 janvier 2003. Selon le ministre, elle répond à un engagement pris par tous les partis politiques.
Durant deux heures d’horloge, tous les articles de la constitution ont été passés en revue. Les différents échanges ont tourné autour des points essentiels. L’Etat de droit, le droit foncier, le statut des rois, l’école gratuite, l’égalité des chances entre les femmes et les hommes, l’emploi des jeunes, la Vice-Présidence, le Senat…sont autant de sujets qui ont été abordés.
Après la séance d’explication, les Rois ont été formés à l’utilisation du bulletin du ‘’OUI’’ pour le scrutin référendaire du 30 Octobre.
Ce dimanche 24 octobre 2016, il a rencontré les têtes couronnées du département de Béoumi en présence des députés Saraka Konan Adolphe, Konan Kouassi Maurice et du corps préfectoral. Pour le ministre Sidi Touré, les chefs garants de nos traditions ont le droit de savoir pourquoi ils doivent opter pour le « OUI ».
Les chefs coutumiers, religieux et associations de femmes sont venus nombreux des villages et quartiers pour écouter leur fils. Les différents messages explicatifs ont été véhiculés en français et dans les deux principales langues locales. Il s’agit du malinké et le baoulé.
A l’entame, le ministre Sidi Touré a fait l’historique de la nouvelle constitution qui est issue de l’accord de Linas-Marcoussis du 15 au 26 janvier 2003. Selon le ministre, elle répond à un engagement pris par tous les partis politiques.
Durant deux heures d’horloge, tous les articles de la constitution ont été passés en revue. Les différents échanges ont tourné autour des points essentiels. L’Etat de droit, le droit foncier, le statut des rois, l’école gratuite, l’égalité des chances entre les femmes et les hommes, l’emploi des jeunes, la Vice-Présidence, le Senat…sont autant de sujets qui ont été abordés.
Après la séance d’explication, les Rois ont été formés à l’utilisation du bulletin du ‘’OUI’’ pour le scrutin référendaire du 30 Octobre.