Abidjan, La Première Dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara, a procédé, jeudi, à Abidjan, à l’ouverture d’une session spéciale consacrée à l’élimination des pires formes de travail des enfants, à l’occasion de la 28e réunion de partenariat et du salon de la durabilité du cacao sur le thème « Population, planète et économie cacaoyère dans un monde en mutation », en présence de 500 représentants mondiaux du secteur du cacao et du chocolat.
Cet événement organisé conjointement par la Fondation Mondiale du Cacao et le Conseil du Café cacao se tient au Radisson Blue Hôtel. Il a donné l’opportunité à toutes les parties prenantes de discuter des acquis et de faire converger leurs efforts pour améliorer la chaine de production et d’approvisionnement du cacao, confrontée depuis quelques années à l’épineuse question du travail des enfants.
Pour la présidente du conseil national de surveillance et de la lutte contre la traite et la pire forme de travail des enfants, Dominique Ouattara, l’accord de partenariat « protocole Harkin-Engel », constitue le cadre institutionnel de référence des efforts de l’industrie du cacao dans la lutte contre la pire forme de travail des enfants, saluant la mise en place de la stratégie « cocoaAction » de la Fondation mondiale du cacao qui permet aussi aux industriels de soutenir la durabilité de la production cacaoyère et d’améliorer les moyens de subsistance des cacaoculteurs.
Les entreprises membres de la fondation mondiale du cacao, ont décidé d’unir leurs forces pour promouvoir la protection de l’enfance et pour combattre les pires formes de travail des enfants.
Représentant environ 40% du marché mondial du cacao, avec en moyenne 1,5 million de tonnes de production par an, la Côte d’Ivoire, premier producteur mondial de cacao, "attend avec beaucoup d’intérêt les réponses liées aux problématiques qui paraissent fondamentales, pour relever le défi de la durabilité du secteur", selon la directrice générale du Conseil café-cacao, Toure Massandjé Litse.
(AIP)
tg/kam
Cet événement organisé conjointement par la Fondation Mondiale du Cacao et le Conseil du Café cacao se tient au Radisson Blue Hôtel. Il a donné l’opportunité à toutes les parties prenantes de discuter des acquis et de faire converger leurs efforts pour améliorer la chaine de production et d’approvisionnement du cacao, confrontée depuis quelques années à l’épineuse question du travail des enfants.
Pour la présidente du conseil national de surveillance et de la lutte contre la traite et la pire forme de travail des enfants, Dominique Ouattara, l’accord de partenariat « protocole Harkin-Engel », constitue le cadre institutionnel de référence des efforts de l’industrie du cacao dans la lutte contre la pire forme de travail des enfants, saluant la mise en place de la stratégie « cocoaAction » de la Fondation mondiale du cacao qui permet aussi aux industriels de soutenir la durabilité de la production cacaoyère et d’améliorer les moyens de subsistance des cacaoculteurs.
Les entreprises membres de la fondation mondiale du cacao, ont décidé d’unir leurs forces pour promouvoir la protection de l’enfance et pour combattre les pires formes de travail des enfants.
Représentant environ 40% du marché mondial du cacao, avec en moyenne 1,5 million de tonnes de production par an, la Côte d’Ivoire, premier producteur mondial de cacao, "attend avec beaucoup d’intérêt les réponses liées aux problématiques qui paraissent fondamentales, pour relever le défi de la durabilité du secteur", selon la directrice générale du Conseil café-cacao, Toure Massandjé Litse.
(AIP)
tg/kam