Les enseignants et les élèves du groupe scolaire1 et 2 du nom de la Grande chancelière Henriette Dagri Diabaté sont désormais exposés à la divagation des bœufs et aux attaques de tous genres. La clôture de cette école primaire bâtie depuis 1933 n’a jamais été réhabilitée. Elle n’a donc pas résisté au vent violent qui a soufflé récemment sur la cité du fromager. Pourtant, les mûrs et les portes de cet établissement ont été repeints aux frais de la Grande chancelière qui garde de bons souvenirs de ce temple de la connaissance et du savoir où elle fut élève. Mais aucune idée de réhabilitation de la clôture n’a effleuré les esprits des personnes qui ont été choisies pour la réalisation des travaux dont l’objet était de donner fière allure à cette école primaire.
Une visite inopinée au groupe scolaire en fin de semaine dernière nous a permis de constater l’effacement de la peinture sur les mûrs. Mieux la photo de la Grande chancelière qui faisait savoir à tout visiteur que ce groupe scolaire anciennement appelé Ecole du centre porte désormais son nom a complètement disparu de la façade d’un bâtiment. Un constat qui confirme, à en croire certains parents d’élèves, l’amateurisme avec lequel les travaux de réhabilitation ont été effectués. Ils souhaitent impatiemment que la Grande chancelière donne à nouveau des moyens financiers pour la construction d’une clôture digne de son nom. Afin que les élèves et le personnel enseignant soient à l’abri de toutes sortes d’attaques, surtout que l’établissement est situé à quelques mètres de la prison civile de Gagnoa. Pour rappel, ce groupe scolaire compte également une école maternelle qui n’est pas du tout reluisante.
Doumbia Namory
Une visite inopinée au groupe scolaire en fin de semaine dernière nous a permis de constater l’effacement de la peinture sur les mûrs. Mieux la photo de la Grande chancelière qui faisait savoir à tout visiteur que ce groupe scolaire anciennement appelé Ecole du centre porte désormais son nom a complètement disparu de la façade d’un bâtiment. Un constat qui confirme, à en croire certains parents d’élèves, l’amateurisme avec lequel les travaux de réhabilitation ont été effectués. Ils souhaitent impatiemment que la Grande chancelière donne à nouveau des moyens financiers pour la construction d’une clôture digne de son nom. Afin que les élèves et le personnel enseignant soient à l’abri de toutes sortes d’attaques, surtout que l’établissement est situé à quelques mètres de la prison civile de Gagnoa. Pour rappel, ce groupe scolaire compte également une école maternelle qui n’est pas du tout reluisante.
Doumbia Namory
