Abidjan (Côte d’Ivoire) - La nomination d’un Vice-Président de la République avant 2020 est un ‘’arrangement constitutionnel’’, a soutenu, jeudi soir, à Abidjan Pr Ouraga Obou, Président du Comité d’experts ayant rédigé le projet de la nouvelle Constitution ivoirienne qui sera soumis à référendum dimanche.
Invité de la radio Nostalgie et interrogé au téléphone par plusieurs journalistes, il est revenu, à la fois, sur les conditions de rédaction de la Constitution et sur la question des dispositions transitoires qui permettent la nomination d’un Vice-président de la République.
«Nommer un vice-président maintenant est un arrangement constitutionnel », a répondu le Pr Ouraga Obou à la question d’un journaliste qui voulait savoir pourquoi cette disposition qui devrait s’appliquer en 2020 devrait l’être maintenant, surtout que selon le projet de la nouvelle Constitution, le Vice-président est élu dans les mêmes conditions que le Président sur une liste bloquée.
Il a aussi décrit les conditions de rédaction de la nouvelle Constitution. « Cela a souvent été difficile. Mais, nous avons pris toutes les décisions par consensus », a-t-il expliqué.
Le chef de l’Etat, Alassane Ouattara qui était à Bouaké, jeudi, a encore une fois appelé les populations à faire triompher le Oui. Les opposants au texte, eux, projettent une marche, vendredi, suivie d’un meeting au stade Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan.
PIGFE/ls
Invité de la radio Nostalgie et interrogé au téléphone par plusieurs journalistes, il est revenu, à la fois, sur les conditions de rédaction de la Constitution et sur la question des dispositions transitoires qui permettent la nomination d’un Vice-président de la République.
«Nommer un vice-président maintenant est un arrangement constitutionnel », a répondu le Pr Ouraga Obou à la question d’un journaliste qui voulait savoir pourquoi cette disposition qui devrait s’appliquer en 2020 devrait l’être maintenant, surtout que selon le projet de la nouvelle Constitution, le Vice-président est élu dans les mêmes conditions que le Président sur une liste bloquée.
Il a aussi décrit les conditions de rédaction de la nouvelle Constitution. « Cela a souvent été difficile. Mais, nous avons pris toutes les décisions par consensus », a-t-il expliqué.
Le chef de l’Etat, Alassane Ouattara qui était à Bouaké, jeudi, a encore une fois appelé les populations à faire triompher le Oui. Les opposants au texte, eux, projettent une marche, vendredi, suivie d’un meeting au stade Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan.
PIGFE/ls