Bouaké - Le président de la coordination nationale des directeurs d’écoles, Nguessan Étienne, a exhorté, vendredi, à Bouaké, ses collègues de la région de Gbekê, à faire la différence entre leur statut de simple instituteur et leur fonction de directeur d’école afin d’adopter des attitudes conséquentes et d’éviter de commettre l’erreur de boycotter les cours du mercredi institués par arrêté du 12 août 2016 par leur ministre de tutelle.
Le président de la coordination nationale des directeurs d’écoles a initié cette mission d’échange avec ses collègues, suite au relèvement de certains d’entre eux de leur fonction pour non-respect de ces réaménageant des heures de cours et l’emploi du temps aux primaires.
<>, a-t-il exhorté.
A l’en croire, les directeurs qui ont été évincés n’ont pas pu faire la différence entre l’attitude liée à leur fonction et celle d’un simple enseignant parce qu’ils n’ont pas compris que leur fonction administrative est prioritaire sur toute autre considération.
L’institution d’une demi-journée de cours les mercredis dans les écoles primaires par arrêté du ministre de l’Education nationale, Kandia Camara, suscite des débats contradictoires dans les milieux enseignants et au sein de la société civile. Certains syndicats d’enseignants ayant appelé à son boycott tandis que d’autres appliquent la mesure gouvernementale.
(AIP)
nbf/ask
Le président de la coordination nationale des directeurs d’écoles a initié cette mission d’échange avec ses collègues, suite au relèvement de certains d’entre eux de leur fonction pour non-respect de ces réaménageant des heures de cours et l’emploi du temps aux primaires.
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A l’en croire, les directeurs qui ont été évincés n’ont pas pu faire la différence entre l’attitude liée à leur fonction et celle d’un simple enseignant parce qu’ils n’ont pas compris que leur fonction administrative est prioritaire sur toute autre considération.
L’institution d’une demi-journée de cours les mercredis dans les écoles primaires par arrêté du ministre de l’Education nationale, Kandia Camara, suscite des débats contradictoires dans les milieux enseignants et au sein de la société civile. Certains syndicats d’enseignants ayant appelé à son boycott tandis que d’autres appliquent la mesure gouvernementale.
(AIP)
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