Abidjan – Un groupe de jeunes gens, munis d’armes blanches, a saccagé dimanche vers 9H trois bureaux de vote sur les huit que compte l’EPP SICOGI BAD LEM, situé à quelques encablures de l’ancien cinéma Saguidiba.
Selon des témoins, notamment des agents des bureaux de vote, ces assaillants, armés de machettes, de gourdins et d’autres projectiles, ont endommagé le matériel de vote. Des bulletins éparpillés à même le sol, des urnes cassées, les bureaux de vote fermés… le déroulement de la scène rapidement orchestrée était au bout de toutes les lèvres présentes.
Un agent de bureau de vote a expliqué qu’il n’y avait que deux policiers non armés sur les lieux, au moment des faits. Ses camarades et lui n’ont posé aucune résistance face à la furie des attaquants qui ont déclaré n’être pas venus pour les attaquer, mais plutôt pour faire leur « boulot », c’est-à-dire empêcher les opérations de vote, a-t-il poursuivi.
Des renforts de forces de défense et de sécurité sont arrivés sur les lieux, pour assurer la sécurité. Jusqu’au départ du reporter de l’AIP, à 9H38’, les bureaux de vote étaient encore clos et les commentaires allaient bon train concernant cette situation.
Plus de six millions d'Ivoiriens sont attendus aux urnes ce dimanche, pour l'adoption ou non de la nouvelle Constitution ivoirienne. Ce référendum constitutionnel, le 2ème dans le pays après celui de 2000, devrait ouvrir la voie à la IIIè République, si le projet est adopté.
cmas
Selon des témoins, notamment des agents des bureaux de vote, ces assaillants, armés de machettes, de gourdins et d’autres projectiles, ont endommagé le matériel de vote. Des bulletins éparpillés à même le sol, des urnes cassées, les bureaux de vote fermés… le déroulement de la scène rapidement orchestrée était au bout de toutes les lèvres présentes.
Un agent de bureau de vote a expliqué qu’il n’y avait que deux policiers non armés sur les lieux, au moment des faits. Ses camarades et lui n’ont posé aucune résistance face à la furie des attaquants qui ont déclaré n’être pas venus pour les attaquer, mais plutôt pour faire leur « boulot », c’est-à-dire empêcher les opérations de vote, a-t-il poursuivi.
Des renforts de forces de défense et de sécurité sont arrivés sur les lieux, pour assurer la sécurité. Jusqu’au départ du reporter de l’AIP, à 9H38’, les bureaux de vote étaient encore clos et les commentaires allaient bon train concernant cette situation.
Plus de six millions d'Ivoiriens sont attendus aux urnes ce dimanche, pour l'adoption ou non de la nouvelle Constitution ivoirienne. Ce référendum constitutionnel, le 2ème dans le pays après celui de 2000, devrait ouvrir la voie à la IIIè République, si le projet est adopté.
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