Venu prendre part au référendum du dimanche 30 Octobre 2016 au Lycée Sainte-Marie de Cocody, le ministre d’Etat , ministre de l’Intérieur et de la Sécurité en Côte d’Ivoire , Ahmed Bakayoko s’est prononcé sur les cas de violences signalés dans les communes de Yopougon et de Gagnoa.
Visage sombre et ton grave, il a dit : « Il y a des gens qui sont de mauvaise volonté, qui manipulent les populations pour boycotter le scrutin de façon violente mais ils assumeront leurs responsabilités devant la loi ». Le dispositif sécuritaire n’est pas à être remis en cause selon lui, quand on voit la méthode utilisée par les casseurs et les fauteurs de troubles. « On a déployé trente mille hommes (30.000) hommes. Vous savez, on a plus de dix mille bureaux de vote. Il faut deux ou trois agents maximum par bureau de vote. Effectivement, on a signalé des cas de violence à ces endroits. Nous sommes en train de faire le point et la police et les forces de sécurités se déploient en fonction, dans l’espoir que nous puissions réorganiser le vote dans ces endroits. Il y a n’en qui rentrent dans les bureaux de vote qui se font passer pour les électeurs normaux, et au moment de voter ils prennent le matériel électoral ou ils empêchent les gens de voter».
Hamed Bakayoko garde espoir que les choses rentrent dans l’ordre l’après-midi, pour permettre aux populations de voter dans le calme.
Visage sombre et ton grave, il a dit : « Il y a des gens qui sont de mauvaise volonté, qui manipulent les populations pour boycotter le scrutin de façon violente mais ils assumeront leurs responsabilités devant la loi ». Le dispositif sécuritaire n’est pas à être remis en cause selon lui, quand on voit la méthode utilisée par les casseurs et les fauteurs de troubles. « On a déployé trente mille hommes (30.000) hommes. Vous savez, on a plus de dix mille bureaux de vote. Il faut deux ou trois agents maximum par bureau de vote. Effectivement, on a signalé des cas de violence à ces endroits. Nous sommes en train de faire le point et la police et les forces de sécurités se déploient en fonction, dans l’espoir que nous puissions réorganiser le vote dans ces endroits. Il y a n’en qui rentrent dans les bureaux de vote qui se font passer pour les électeurs normaux, et au moment de voter ils prennent le matériel électoral ou ils empêchent les gens de voter».
Hamed Bakayoko garde espoir que les choses rentrent dans l’ordre l’après-midi, pour permettre aux populations de voter dans le calme.