Joel N’guessan, porte-parole du parti au pouvoir, le Rassemblement des républicains (Rdr), a affirmé lundi à Abidjan que les taux de participation au référendum évoqués par l’opposition dimanche discréditent "la volonté démocratique“ des ivoiriens, dans un communiqué.
Les chiffres "sortis tout droit de l’imaginaire" de l’opposition, ont pour "but clair de porter un discrédit sur la volonté des ivoiriens", a dit M. N’guessan précisant que "ces déclarations ne doivent en aucune manière émouvoir" les ivoiriens. Selon lui, le "oui l’a emporté, c’est l’essentiel".
En 2000, la France a enregistré "un taux de participation de 30%" pour la "réduction du mandat du président" (de 7 à 5 ans), votée "à 74%" et cette réduction de mandat "s’impose" à tous les français, a argumenté le porte-parole du Rdr déduisant qu’"il en sera de même en Côte d’Ivoire".
Dimanche, peu avant 18h00 GMT, heure de la fermeture des bureaux de vote en Côte d’Ivoire, le Front du refus, la Coalition du non et l’Alliance des forces démocratiques (Afd) ont avancé le taux de participation au scrutin référendaire "sur la base de statistiques propres" donnés par leurs "relais sur le terrain".
Selon l’Afd, le taux de participation est situé entre 6 et 7% au niveau national, tandis que la coalition du non et le Front du refus ont annoncé des tendances allant de 3 à 5%, à Abidjan et dans plusieurs villes de l’intérieur du pays.
Plus de 6,3 millions d’électeurs étaient appelés à se prononcer dimanche sur le projet de nouvelle Constitution dont les principales innovations sont la modification des conditions d’éligibilité à la présidentielle, la création d’un poste de Vice-présidence et d’un Sénat.
Selon le calendrier électoral, les résultats de ce scrutin, que l’opposition a appelé à boycotter, devraient être connus au plus tard jeudi.
En 2000, le taux de participation du référendum qui a conduit la Côte d’Ivoire à la 2e République s’est élevé à 56% et le vote "oui" à 86%.
RKO
Les chiffres "sortis tout droit de l’imaginaire" de l’opposition, ont pour "but clair de porter un discrédit sur la volonté des ivoiriens", a dit M. N’guessan précisant que "ces déclarations ne doivent en aucune manière émouvoir" les ivoiriens. Selon lui, le "oui l’a emporté, c’est l’essentiel".
En 2000, la France a enregistré "un taux de participation de 30%" pour la "réduction du mandat du président" (de 7 à 5 ans), votée "à 74%" et cette réduction de mandat "s’impose" à tous les français, a argumenté le porte-parole du Rdr déduisant qu’"il en sera de même en Côte d’Ivoire".
Dimanche, peu avant 18h00 GMT, heure de la fermeture des bureaux de vote en Côte d’Ivoire, le Front du refus, la Coalition du non et l’Alliance des forces démocratiques (Afd) ont avancé le taux de participation au scrutin référendaire "sur la base de statistiques propres" donnés par leurs "relais sur le terrain".
Selon l’Afd, le taux de participation est situé entre 6 et 7% au niveau national, tandis que la coalition du non et le Front du refus ont annoncé des tendances allant de 3 à 5%, à Abidjan et dans plusieurs villes de l’intérieur du pays.
Plus de 6,3 millions d’électeurs étaient appelés à se prononcer dimanche sur le projet de nouvelle Constitution dont les principales innovations sont la modification des conditions d’éligibilité à la présidentielle, la création d’un poste de Vice-présidence et d’un Sénat.
Selon le calendrier électoral, les résultats de ce scrutin, que l’opposition a appelé à boycotter, devraient être connus au plus tard jeudi.
En 2000, le taux de participation du référendum qui a conduit la Côte d’Ivoire à la 2e République s’est élevé à 56% et le vote "oui" à 86%.
RKO