La commémoration de la fête de Toussaint a été vécue intensément à Anono, village situé dans la commune de Cocody. Répondant à l’appel du curé, c’est une foule nombreuse qui s’est amassée à l’intérieur et à l’extérieur de l’église Saint François Xavier faute de place pour fêter la ‘’vie’’ et non la ‘’mort’’ aux dires du vicaire Jean Parfait Yapo.
Il a dans son homélie défini ce qu’est un Saint avant de déclarer que la fête de Toussaint n’est pas exclusivement réservée aux 144000 personnes mentionnées dans les écritures. Mais que l’humanité entière est appelée à faire partir du nombre de ces personnes. « La fête de Toussaint, c’est donc la journée porte ouverte de l’Eglise du Christ », a-t-il dit. Car, a-t-il poursuivi, ‘’l’Eglise de Jésus Christ a un passé, un présent et aura un futur’’. Il explique que le passé de l’Eglise invite les chrétiens à regarder ceux et celles qui sont morts en posant des actes significatifs. Le présent, selon lui, ce sont ces gens qui sont à l’écoute des autres et qui sauvent. Leur exemple, à l’en croire, est un sujet de méditation pour tous. Le futur devrait, a-t-il indiqué, interpeller les chrétiens. En ce sens qu’ils sont en pèlerinage sur la terre. Le terminus de ce voyage, est-il convaincu, ce sera d’être dans la maison de Dieu, là où le Père de Jésus Christ a réservé une place pour chacun de ceux-ci. Il exhorte chaque fidèle à être un modèle à l’image de feu Jean Paul II, Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et Mère Teresa.
A la fin de la messe, c’est en fanfare que les chrétiens se sont rendus au cimetière du village en procession. Après la bénédiction des corps par le vicaire chacun est allé déposer une gerbe de fleur sur la tombe d’un parent défunt non sans prier.
GOMON Edmond
Il a dans son homélie défini ce qu’est un Saint avant de déclarer que la fête de Toussaint n’est pas exclusivement réservée aux 144000 personnes mentionnées dans les écritures. Mais que l’humanité entière est appelée à faire partir du nombre de ces personnes. « La fête de Toussaint, c’est donc la journée porte ouverte de l’Eglise du Christ », a-t-il dit. Car, a-t-il poursuivi, ‘’l’Eglise de Jésus Christ a un passé, un présent et aura un futur’’. Il explique que le passé de l’Eglise invite les chrétiens à regarder ceux et celles qui sont morts en posant des actes significatifs. Le présent, selon lui, ce sont ces gens qui sont à l’écoute des autres et qui sauvent. Leur exemple, à l’en croire, est un sujet de méditation pour tous. Le futur devrait, a-t-il indiqué, interpeller les chrétiens. En ce sens qu’ils sont en pèlerinage sur la terre. Le terminus de ce voyage, est-il convaincu, ce sera d’être dans la maison de Dieu, là où le Père de Jésus Christ a réservé une place pour chacun de ceux-ci. Il exhorte chaque fidèle à être un modèle à l’image de feu Jean Paul II, Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et Mère Teresa.
A la fin de la messe, c’est en fanfare que les chrétiens se sont rendus au cimetière du village en procession. Après la bénédiction des corps par le vicaire chacun est allé déposer une gerbe de fleur sur la tombe d’un parent défunt non sans prier.
GOMON Edmond
