Le dimanche 30 octobre 2016, les Ivoiriens ont été invités aux urnes pour approuver ou rejeter en toute liberté, le projet de nouvelle Constitution après une large consultation avec toutes les couches de la population ivoirienne.
Malheureusement, il a été donné de constater qu’en lieu et place du jeu démocratique, des groupes de personnes, à l’appel de certains partis politiques, se sont livrés à des actes de violences, attentatoires à la liberté des citoyens.
En effet, ces actes condamnables, qui se sont déroulés aussi bien dans certains quartiers d’Abidjan que dans des localités de l’intérieur, ont consisté notamment en des saccages et vols d’urnes ; des intimidations et harcèlements de toutes sortes à l’endroit des électeurs et des observateurs.
Le gouvernement voudrait rappeler à tous que le droit de vote est un droit politique majeur, un droit fondamental que tout citoyen doit pouvoir exercer sans aucune entrave ; c’est pourquoi le gouvernement se fait un devoir de prendre les dispositions pour que ce droit soit effectif sur toute l’étendue du territoire. Il ne peut tolérer ces actes de violences qui portent atteinte à la démocratie et aux droits de l’Homme.
Le Gouvernement appelle toute la classe politique au dialogue et à la concertation dans le cadre permanent prévu à cet effet, afin d’extirper définitivement la violence des élections et préserver la paix et la cohésion sociale.
Fait à Abidjan, le mardi 1er novembre 2016
Pour le Gouvernement
La Ministre des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques
Paulette Badjo EZOUEHU
Malheureusement, il a été donné de constater qu’en lieu et place du jeu démocratique, des groupes de personnes, à l’appel de certains partis politiques, se sont livrés à des actes de violences, attentatoires à la liberté des citoyens.
En effet, ces actes condamnables, qui se sont déroulés aussi bien dans certains quartiers d’Abidjan que dans des localités de l’intérieur, ont consisté notamment en des saccages et vols d’urnes ; des intimidations et harcèlements de toutes sortes à l’endroit des électeurs et des observateurs.
Le gouvernement voudrait rappeler à tous que le droit de vote est un droit politique majeur, un droit fondamental que tout citoyen doit pouvoir exercer sans aucune entrave ; c’est pourquoi le gouvernement se fait un devoir de prendre les dispositions pour que ce droit soit effectif sur toute l’étendue du territoire. Il ne peut tolérer ces actes de violences qui portent atteinte à la démocratie et aux droits de l’Homme.
Le Gouvernement appelle toute la classe politique au dialogue et à la concertation dans le cadre permanent prévu à cet effet, afin d’extirper définitivement la violence des élections et préserver la paix et la cohésion sociale.
Fait à Abidjan, le mardi 1er novembre 2016
Pour le Gouvernement
La Ministre des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques
Paulette Badjo EZOUEHU