La 22e session de la Conférence des Parties de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques, dite COP22, a ouvert ses portes, lundi 7 novembre 2016, à Marrakech, au sud du Maroc. Pour mieux plaider la cause et porter haut la voix de l’Afrique et de ses 54 pays, un Pavillon Afrique se dresse en zone bleue, au cœur de l’espace dévolu aux négociations de haut niveau et géré par les Nations Unies.
Le pavillon est organisé conjointement par la Banque africaine de développement (BAD), la Commission de l’Union africaine (CUA), la Commission économique pour l’Afrique (CEA) et le Nouveau partenariat pour le développement de l’ Afrique (NEPAD).
Il incarne le front uni qu’entend présenter le continent africain dans les négociations internationales, afin de mieux défendre ses intérêts et la détermination du continent à agir face aux enjeux du changement climatique, souligne un communiqué de la BAD.
C’est aussi un lieu de rencontres et un espace de débat et d’informations. Durant les deux semaines de la COP22, le Pavillon Afrique affiche un programme dense et varié (tables-rondes, conférences, rencontres bilatérales), qui décline les problématiques du changement climatique spécifiques au continent africain - adaptation et atténuation, industrialisation verte, agriculture, transports, santé, eau et assainissement, mais aussi biodiversité et innovation..., entre autres.
Plusieurs chefs d’Etat et hauts responsables africains sont également attendus sur les lieux, à l’occasion de la semaine de haut niveau de la COP22, notamment pour la Journée de l’Afrique, mercredi 16 novembre 2016.
Cette COP22 est la quatrième COP à se tenir sur le sol africain et la deuxième au Maroc. Une opportunité pour mettre l’accent sur les besoins et les propositions du continent, l’une des régions les plus vulnérables au monde face au changement climatique. Il lui est essentiel de veiller à ce que les ambitions et responsabilités mondiales établies en matière de lutte contre le réchauffement climatique soient révisées à la hausse, particulièrement à travers un financement planifié, pour encourager un développement sobre en carbone et résilient au changement climatique, conformément aux objectifs de développement du continent et ses priorités.
La COP22 entend surtout être la COP de l’action, celle qui engagera la mise en œuvre concrète des engagements entérinés dans l’Accord de Paris, entré en vigueur le 4 novembre 2016, conclut la même source.
Le pavillon est organisé conjointement par la Banque africaine de développement (BAD), la Commission de l’Union africaine (CUA), la Commission économique pour l’Afrique (CEA) et le Nouveau partenariat pour le développement de l’ Afrique (NEPAD).
Il incarne le front uni qu’entend présenter le continent africain dans les négociations internationales, afin de mieux défendre ses intérêts et la détermination du continent à agir face aux enjeux du changement climatique, souligne un communiqué de la BAD.
C’est aussi un lieu de rencontres et un espace de débat et d’informations. Durant les deux semaines de la COP22, le Pavillon Afrique affiche un programme dense et varié (tables-rondes, conférences, rencontres bilatérales), qui décline les problématiques du changement climatique spécifiques au continent africain - adaptation et atténuation, industrialisation verte, agriculture, transports, santé, eau et assainissement, mais aussi biodiversité et innovation..., entre autres.
Plusieurs chefs d’Etat et hauts responsables africains sont également attendus sur les lieux, à l’occasion de la semaine de haut niveau de la COP22, notamment pour la Journée de l’Afrique, mercredi 16 novembre 2016.
Cette COP22 est la quatrième COP à se tenir sur le sol africain et la deuxième au Maroc. Une opportunité pour mettre l’accent sur les besoins et les propositions du continent, l’une des régions les plus vulnérables au monde face au changement climatique. Il lui est essentiel de veiller à ce que les ambitions et responsabilités mondiales établies en matière de lutte contre le réchauffement climatique soient révisées à la hausse, particulièrement à travers un financement planifié, pour encourager un développement sobre en carbone et résilient au changement climatique, conformément aux objectifs de développement du continent et ses priorités.
La COP22 entend surtout être la COP de l’action, celle qui engagera la mise en œuvre concrète des engagements entérinés dans l’Accord de Paris, entré en vigueur le 4 novembre 2016, conclut la même source.