Le président de la République Alassane Ouattara a prévenu, vendredi, que la loi sera appliquée « intégralement" à l’égard des fonctionnaires entrés en grève depuis lundi, qualifiant ces grèves d’«illégales».
" Ces grèves sont illégales, la loi sera appliquée de manière intégrale comme je l’avais déjà dit le 1er mai", a déclaré M. Ouattara, lors de la cérémonie de remise officielle du rapport 2015 de la Commission nationale des droits de l’homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI), au palais présidentiel à Abidjan-plateau.
"Les enfants de Côte d’Ivoire ont le droit d’aller à l’école et il y a des règles et des procédures à respecter pour aller en grève", a-t-il dit, rappelant que c’est en 1992, alors qu’il était Premier ministre, qu’il a défini avec les syndicats ces procédures.
Dans son rapport 2015, la présidente de la CNDHCI a évoqué les "nombreuses grèves qui ont perturbé l’année académique, note-on.
La plateforme des organisations professionnelles du secteur public, une faîtière revendiquant 50 syndicats, a lancé une grève de 72 heures de mardi à jeudi, pour protester contre la réforme de la retraite qui induit une réduction de la pension de retraite, tout en revendiquant également le paiement d’un présumé stock d’arriérés de 243 milliards de francs CFA. Dans le même temps, une centrale syndicale d’enseignants du primaire a entamé une grève de 5 jours, lundi, pour les mêmes revendications.
akn/tm
" Ces grèves sont illégales, la loi sera appliquée de manière intégrale comme je l’avais déjà dit le 1er mai", a déclaré M. Ouattara, lors de la cérémonie de remise officielle du rapport 2015 de la Commission nationale des droits de l’homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI), au palais présidentiel à Abidjan-plateau.
"Les enfants de Côte d’Ivoire ont le droit d’aller à l’école et il y a des règles et des procédures à respecter pour aller en grève", a-t-il dit, rappelant que c’est en 1992, alors qu’il était Premier ministre, qu’il a défini avec les syndicats ces procédures.
Dans son rapport 2015, la présidente de la CNDHCI a évoqué les "nombreuses grèves qui ont perturbé l’année académique, note-on.
La plateforme des organisations professionnelles du secteur public, une faîtière revendiquant 50 syndicats, a lancé une grève de 72 heures de mardi à jeudi, pour protester contre la réforme de la retraite qui induit une réduction de la pension de retraite, tout en revendiquant également le paiement d’un présumé stock d’arriérés de 243 milliards de francs CFA. Dans le même temps, une centrale syndicale d’enseignants du primaire a entamé une grève de 5 jours, lundi, pour les mêmes revendications.
akn/tm