La problématique du plastique dans les océans était au centre d’échanges, vendredi, à la Salle Souss, en Zone verte de la conférence internationale sur le climat (COP22) qui se tient, du 7 au 18 novembre à Marrakech (Maroc).
Le débat a abordé la problématique du plastique dans les océans qui a considérablement augmenté ces dernières années, posant des problèmes non seulement pour les zones côtières, mais pour les pays insulaires et la planète dans son ensemble, et a mis en évidence la nécessité vitale d’agir et de mettre en œuvre des initiatives et des lois pour protéger cette ressource vitale, un élément primordial de l’écosystème.
Les déchets plastiques affectent la faune, les récifs, les algues... Ils touchent les côtes et souvent les lieux de vie de nombreuses communautés, en particulier dans les régions méditerranéennes et les îles du Pacifique. Le problème, en plus d’être une préoccupation environnementale, est également éminemment socio-économique. « Le tourisme est l’un des principaux moteurs de notre économie », a déclaré Bran Quinquis, responsable de l’office en charge du climat en Polynésie, « le problème de plastique a un impact significatif ».
Le sujet concerne toutes les communautés insulaires. En outre, lutter contre le problème des plastiques dans les océans contribue non seulement à la lutte contre le changement climatique, mais permet par ailleurs de générer de nombreux emplois dans le secteur.
Organisé par Green Cross International, l’événement était marqué par la diffusion d’un message vidéo spécial de Jean-Michel Cousteau, président de l’organisation. « Ma génération a eu le privilège de jouir de nos océans », a-t-il dit. « Il est de la responsabilité de tout le monde que la prochaine génération ait ce même privilège. Nous devons agir maintenant, et devons relever le défi avec enthousiasme, » a-t-il ajouté.
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Le débat a abordé la problématique du plastique dans les océans qui a considérablement augmenté ces dernières années, posant des problèmes non seulement pour les zones côtières, mais pour les pays insulaires et la planète dans son ensemble, et a mis en évidence la nécessité vitale d’agir et de mettre en œuvre des initiatives et des lois pour protéger cette ressource vitale, un élément primordial de l’écosystème.
Les déchets plastiques affectent la faune, les récifs, les algues... Ils touchent les côtes et souvent les lieux de vie de nombreuses communautés, en particulier dans les régions méditerranéennes et les îles du Pacifique. Le problème, en plus d’être une préoccupation environnementale, est également éminemment socio-économique. « Le tourisme est l’un des principaux moteurs de notre économie », a déclaré Bran Quinquis, responsable de l’office en charge du climat en Polynésie, « le problème de plastique a un impact significatif ».
Le sujet concerne toutes les communautés insulaires. En outre, lutter contre le problème des plastiques dans les océans contribue non seulement à la lutte contre le changement climatique, mais permet par ailleurs de générer de nombreux emplois dans le secteur.
Organisé par Green Cross International, l’événement était marqué par la diffusion d’un message vidéo spécial de Jean-Michel Cousteau, président de l’organisation. « Ma génération a eu le privilège de jouir de nos océans », a-t-il dit. « Il est de la responsabilité de tout le monde que la prochaine génération ait ce même privilège. Nous devons agir maintenant, et devons relever le défi avec enthousiasme, » a-t-il ajouté.
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