Les chèques symboliques de un million de FCFA que le gouvernement donne aux ayants-droit des victimes décédées lors des crises survenues en Côte d’Ivoire ne peuvent certes remplacer les défunts, mais réconfortent les familles endeuillées, ont estimé, samedi, à Zomplou (Bloléquin, extrême Ouest) des ayants-droit de personnes décédées.
Ces chèques que nous venons de recevoir ‘’ne peuvent pas certes remplacer la personne humaine mais cette compassion du gouvernement à notre égard nous va droit au cœur’’ a déclaré à APA après avoir reçu son chèque d’une valeur de 1 000 000 FCFA, Paul Tié Kapeu, le père de Severin Gouanda Kapeu, décédé lors des violences post-électorales de 2011.
« Cet argent ne remplace pas la personne humaine certes, mais c’est une manière de nous dire d’être en phase avec ce qui est présentement en place (processus d’indemnisation) » a ajouté M. Kapeu.
Pour cet originaire de Bloléquin, ‘’ce geste du gouvernement nous va droit au cœur même si on ne peut pas remplacer une personne avec de l’argent en tout cas je dis merci au gouvernement pour ce geste fort qui contribue au renforcement de la réconciliation et de la cohésion sociale’’ a-t-il poursuivi.
‘’Tout ce qui s’est passé ce sont des évènements que personne ne pouvait préméditer, c’est quelque chose qui est arrivée aujourd’hui faisons table rase et vivons ensemble’’ a lancé M. Kapeu, ajoutant que ‘’si j’ai accepté de prendre ce chèque c’est parce que j’ai pardonné totalement’’.
Pour dame Jacqueline Monlan Kihi, venue de Guiglo pour percevoir son chèque au nom de son défunt mari (Moho Semon Norbert), décédé à Abidjan, à la suite des évènements post-électoraux de 2010, ‘’cette somme perçue va me permettre de poursuivre la scolarisation des 3 enfants que m’a laissé mon mari’’.
‘’Je remercie infiniment le gouvernement pour ce geste inoubliable’’ a-t-elle conclu. La ministre ivoirienne de la solidarité, de la cohésion sociale et de l'indemnisation des victimes, Pr Mariatou Koné a procédé, samedi, à Zomplou (département de Bloléquin, Ouest ivoirien), à la remise symbolique de chèques d’un montant global de 83 millions de francs CFA à 83 ayants-droit de personnes décédées au cours des différentes crises survenues en Côte d’Ivoire de 1990 à 2011.
CK/ls/APA
Ces chèques que nous venons de recevoir ‘’ne peuvent pas certes remplacer la personne humaine mais cette compassion du gouvernement à notre égard nous va droit au cœur’’ a déclaré à APA après avoir reçu son chèque d’une valeur de 1 000 000 FCFA, Paul Tié Kapeu, le père de Severin Gouanda Kapeu, décédé lors des violences post-électorales de 2011.
« Cet argent ne remplace pas la personne humaine certes, mais c’est une manière de nous dire d’être en phase avec ce qui est présentement en place (processus d’indemnisation) » a ajouté M. Kapeu.
Pour cet originaire de Bloléquin, ‘’ce geste du gouvernement nous va droit au cœur même si on ne peut pas remplacer une personne avec de l’argent en tout cas je dis merci au gouvernement pour ce geste fort qui contribue au renforcement de la réconciliation et de la cohésion sociale’’ a-t-il poursuivi.
‘’Tout ce qui s’est passé ce sont des évènements que personne ne pouvait préméditer, c’est quelque chose qui est arrivée aujourd’hui faisons table rase et vivons ensemble’’ a lancé M. Kapeu, ajoutant que ‘’si j’ai accepté de prendre ce chèque c’est parce que j’ai pardonné totalement’’.
Pour dame Jacqueline Monlan Kihi, venue de Guiglo pour percevoir son chèque au nom de son défunt mari (Moho Semon Norbert), décédé à Abidjan, à la suite des évènements post-électoraux de 2010, ‘’cette somme perçue va me permettre de poursuivre la scolarisation des 3 enfants que m’a laissé mon mari’’.
‘’Je remercie infiniment le gouvernement pour ce geste inoubliable’’ a-t-elle conclu. La ministre ivoirienne de la solidarité, de la cohésion sociale et de l'indemnisation des victimes, Pr Mariatou Koné a procédé, samedi, à Zomplou (département de Bloléquin, Ouest ivoirien), à la remise symbolique de chèques d’un montant global de 83 millions de francs CFA à 83 ayants-droit de personnes décédées au cours des différentes crises survenues en Côte d’Ivoire de 1990 à 2011.
CK/ls/APA