Sirasso - Le directeur régional des Affaires sociales du Tchologo, N’dri Yao, a proposé samedi à l’occasion de la célébration de la Journée internationale des droits de l’enfant à Sirasso, la mise en place d’un « mécanisme collecte et de documentation » sur les violences qui leur sont faites en tant qu’une action commune de protection de leurs droits dans la localité.
« Il faut que nous puissions mettre ensemble nos forces pour atteindre le but commun : celui de la réalisation des droits de l’enfant qui n’est rien d’autre que leur protection », a justifié M. N’dri Yao, rappelant le thème de la Journée internationale du droit de l’enfant 2016, à savoir « Agissons ensemble pour mettre fin à toute forme de violence faite aux enfants ».
Pour que toutes les forces coopèrent effectivement, ce mécanisme devra comprendre toutes les couches socioprofessionnelles interagissant avec les enfants. Dans ce sens, a-t-il poursuivi, il y aura des points focaux dans les centres de santé, les centres sociaux, à la gendarmerie et à la mairie. Ceux-ci fourniront des données fiables sur les questions de violation des droits de l’enfant qui serviront à établir une documentation complète l’attention des décideurs, des bailleurs de fonds et des ONG.
Le cas des enfants en situation de vulnérabilité n’est pas reluisante à Sirasso et dans les localités environnantes. Nombreux parmi eux sont victimes de violences et d’atteintes diverses qui les empêchent de s’exprimer et qui freinent leur épanouissement.
kaem/cmas
« Il faut que nous puissions mettre ensemble nos forces pour atteindre le but commun : celui de la réalisation des droits de l’enfant qui n’est rien d’autre que leur protection », a justifié M. N’dri Yao, rappelant le thème de la Journée internationale du droit de l’enfant 2016, à savoir « Agissons ensemble pour mettre fin à toute forme de violence faite aux enfants ».
Pour que toutes les forces coopèrent effectivement, ce mécanisme devra comprendre toutes les couches socioprofessionnelles interagissant avec les enfants. Dans ce sens, a-t-il poursuivi, il y aura des points focaux dans les centres de santé, les centres sociaux, à la gendarmerie et à la mairie. Ceux-ci fourniront des données fiables sur les questions de violation des droits de l’enfant qui serviront à établir une documentation complète l’attention des décideurs, des bailleurs de fonds et des ONG.
Le cas des enfants en situation de vulnérabilité n’est pas reluisante à Sirasso et dans les localités environnantes. Nombreux parmi eux sont victimes de violences et d’atteintes diverses qui les empêchent de s’exprimer et qui freinent leur épanouissement.
kaem/cmas
