L’Intersyndicale de l’enseignement préscolaire et primaire de Côte d’Ivoire (Isepp-CI), engagé dans des négociations avec le gouvernement ivoirien, lui a demandé mardi à Abidjan, de "lever toutes les sanctions prises contre les enseignants", dans une déclaration.
"L’ISEPP-CI invite le gouvernement à lever toutes les sanctions prises contre les enseignants et à arrêter toutes les tracasseries et intimidations pour un dialogue sain et constructif", a déclaré le porte-parole de l’intersyndicale, David Bli Blé, à la télévision nationale.
En Côte d’Ivoire, depuis le 12 septembre, date de la rentrée scolaire 2016-2017, l’Ecole a connu des perturbations, dont celles liées au refus de certains enseignants du primaire public d’appliquer la réforme des cours de mercredi et une grève d’une semaine (du 7 au 11 novembre), pour réclamer entre autres, le relèvement du point de l’indice salarial.
Le 11 novembre, face à ces mouvements d’arrêt de travail, la ministre ivoirienne de l’Education, Kandia Camara a menacé de "fermer les écoles et suspendre les salaires des enseignants".
"Pour donner une chance (aux) négociations engagées", l’ISEPP-CI, dont fait partie le Mouvement des instituteurs pour la défense de leur droit (MIDD, principal syndicat de l’enseignement primaire public) a, par la voix de son porte-parole "réitéré sa suspension du mot d’ordre de boycott des cours de mercredi", appelant les enseignants "à assurer (ces) cours jusqu’au règlement définitif de cette question".
Les deux parties ont convenu par ailleurs de "la tenue imminente d’un séminaire ne pouvant excéder trois jours, à l’occasion duquel (des) points seront examinés en vue de solutions adéquates", a indiqué David Bli Blé.
ATI
"L’ISEPP-CI invite le gouvernement à lever toutes les sanctions prises contre les enseignants et à arrêter toutes les tracasseries et intimidations pour un dialogue sain et constructif", a déclaré le porte-parole de l’intersyndicale, David Bli Blé, à la télévision nationale.
En Côte d’Ivoire, depuis le 12 septembre, date de la rentrée scolaire 2016-2017, l’Ecole a connu des perturbations, dont celles liées au refus de certains enseignants du primaire public d’appliquer la réforme des cours de mercredi et une grève d’une semaine (du 7 au 11 novembre), pour réclamer entre autres, le relèvement du point de l’indice salarial.
Le 11 novembre, face à ces mouvements d’arrêt de travail, la ministre ivoirienne de l’Education, Kandia Camara a menacé de "fermer les écoles et suspendre les salaires des enseignants".
"Pour donner une chance (aux) négociations engagées", l’ISEPP-CI, dont fait partie le Mouvement des instituteurs pour la défense de leur droit (MIDD, principal syndicat de l’enseignement primaire public) a, par la voix de son porte-parole "réitéré sa suspension du mot d’ordre de boycott des cours de mercredi", appelant les enseignants "à assurer (ces) cours jusqu’au règlement définitif de cette question".
Les deux parties ont convenu par ailleurs de "la tenue imminente d’un séminaire ne pouvant excéder trois jours, à l’occasion duquel (des) points seront examinés en vue de solutions adéquates", a indiqué David Bli Blé.
ATI