Un groupe de pays africains demandait la suspension de la nomination d’un expert de l’ONU sur les droits des personnes LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres), Vitit Muntarbhorn, affirmant que son mandat n’avait rien à voir avec les droits de l’homme.
Cette remise en cause a finalement échoué lundi 21 novembre, après l’intervention des pays d’Amérique latine. Soutenus par les États-Unis et plusieurs pays européens, ces derniers demandaient l’annulation de cette suspension, initiée par plusieurs pays africains.
Le texte a été adopté à 84 voix pour, 77 contre et 17 abstentions, sur les 193 membres que compte l’Assemblée générale des Nations Unies. L’Afrique du Sud a voté en faveur de l’amendement maintenant en place l’expert LGBT, de... suite de l'article sur Jeune Afrique
Cette remise en cause a finalement échoué lundi 21 novembre, après l’intervention des pays d’Amérique latine. Soutenus par les États-Unis et plusieurs pays européens, ces derniers demandaient l’annulation de cette suspension, initiée par plusieurs pays africains.
Le texte a été adopté à 84 voix pour, 77 contre et 17 abstentions, sur les 193 membres que compte l’Assemblée générale des Nations Unies. L’Afrique du Sud a voté en faveur de l’amendement maintenant en place l’expert LGBT, de... suite de l'article sur Jeune Afrique