I Les faits
Le lundi 21 novembre 2016, plusieurs journalistes du quotidien « La Matinale » ont entamé une grève de la faim à la Cathédrale saint Paul d’Abidjan. Les grévistes dénoncent leur mise au chômage déguisée depuis le mois de décembre 2015 et le non paiement de leur salaire depuis le mois de mars 2016. Ils rappellent en effet, qu’à la fermeture du journal, la direction du RDR, le parti au pouvoir à qui appartenait le journal leur a promis de les reprendre dans une nouvelle entreprise en création, les éditions « Vivre Ensemble » qui devrait éditer le quotidien « Le Rassemblement ». Près d’un an après, ledit projet reste selon eux au stade de rêve et ils sont sans ressources depuis plus de huit mois.
Ils demandent donc le paiement de leurs arriérés de salaire et le démarrage des activités du journal « Le Rassemblement » pour qu’ils retrouvent leurs emplois.
II Notre position
Le Syndicat National des Professionnels de la Presse de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI) tient à exprimer sa totale solidarité avec les camarades grévistes et les assure de sont soutien total.
Le SYNAPPCI condamne par ailleurs l’attitude méprisante de la direction du RDR qui refuse d’engager des discussions claires et directes avec ses travailleurs au motif que leur contrat de travail a été rompu verbalement.
Le SYNAPPCI lance un appel pressant au président de la république, SEM Alassane Ouattara, principal initiateur du projet du quotidien « La Matinale » afin qu’il agisse avec diligence pour mettre fin à la controverse née de la disparition du quotidien « La Matinale »
Le SYNAPPCI appelle tous les professionnels des médias de Côte d’Ivoire à la solidarité avec nos camarades en vue de faire aboutir leurs revendications dans les meilleurs délais.
Fait à Abidjan le 23 Novembre 2016
Pour le SYNAPPCI
Le Secrétaire Général
Guillaume GBATO
Le lundi 21 novembre 2016, plusieurs journalistes du quotidien « La Matinale » ont entamé une grève de la faim à la Cathédrale saint Paul d’Abidjan. Les grévistes dénoncent leur mise au chômage déguisée depuis le mois de décembre 2015 et le non paiement de leur salaire depuis le mois de mars 2016. Ils rappellent en effet, qu’à la fermeture du journal, la direction du RDR, le parti au pouvoir à qui appartenait le journal leur a promis de les reprendre dans une nouvelle entreprise en création, les éditions « Vivre Ensemble » qui devrait éditer le quotidien « Le Rassemblement ». Près d’un an après, ledit projet reste selon eux au stade de rêve et ils sont sans ressources depuis plus de huit mois.
Ils demandent donc le paiement de leurs arriérés de salaire et le démarrage des activités du journal « Le Rassemblement » pour qu’ils retrouvent leurs emplois.
II Notre position
Le Syndicat National des Professionnels de la Presse de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI) tient à exprimer sa totale solidarité avec les camarades grévistes et les assure de sont soutien total.
Le SYNAPPCI condamne par ailleurs l’attitude méprisante de la direction du RDR qui refuse d’engager des discussions claires et directes avec ses travailleurs au motif que leur contrat de travail a été rompu verbalement.
Le SYNAPPCI lance un appel pressant au président de la république, SEM Alassane Ouattara, principal initiateur du projet du quotidien « La Matinale » afin qu’il agisse avec diligence pour mettre fin à la controverse née de la disparition du quotidien « La Matinale »
Le SYNAPPCI appelle tous les professionnels des médias de Côte d’Ivoire à la solidarité avec nos camarades en vue de faire aboutir leurs revendications dans les meilleurs délais.
Fait à Abidjan le 23 Novembre 2016
Pour le SYNAPPCI
Le Secrétaire Général
Guillaume GBATO