Les mouvements citoyens qui poussent partout en Afrique ne sont pas seulement unis par leur volonté de défendre la démocratie. Dans les anciennes colonies françaises, ils sont aussi soudés par un rejet violent de la France et de sa politique d’influence qui contribue, selon eux, à garantir l’impunité de régimes autocratiques. C’est à Sciences Po, dans l’antre de la fabrication des élites, que plusieurs d’entre eux ont choisi d’interpeller les « futurs dirigeants de la France » pour leur demander de « couper ça ».
« Je ne suis pas venu vous parler de Paul Biya, cela ne m’intéresse pas de radoter sur la situation du Cameroun que tout le monde connaît. Je veux vous parler de vos responsabilités », a lancé le rappeur Valsero lors du colloque sur Les... suite de l'article sur LeMonde.fr
« Je ne suis pas venu vous parler de Paul Biya, cela ne m’intéresse pas de radoter sur la situation du Cameroun que tout le monde connaît. Je veux vous parler de vos responsabilités », a lancé le rappeur Valsero lors du colloque sur Les... suite de l'article sur LeMonde.fr