La Commission nationale des droits de l’Homme (Cndhci) de plus en plus sollicitée par les populations. C’est une observation faite par Namizata Sangaré, la présidente de l’institution, qui a relevé une hausse des requêtes envers la structure, à la remise de matériels d’équipements de l’Onuci aux commissions locales. C’était vendredi dernier, au siège de la Cndhci, à Cocody. « De 74 requêtes en 2015, la Cndhci enregistre aujourd’hui 257 », a-t-elle affirmé. Mme Sangaré s’est donc félicitée de l’appui de l’Onuci, à travers le matériel offert aux commissions locales. Elle a indiqué que cela vient à point nommer pour aider la commission à répondre aux attentes des populations.
Aïchatou Mindaoudou, la Représentant spéciale a souligné l’intérêt particulier que l’Onuci porte aux activités de la Cndhci. « Elle l’est encore plus en cette période de retrait de la mission, tant nous sommes soucieux de laisser une commission crédible, visible et opérationnelle, vous l’avez dit Madame la présidente, une Commission qui sera à même de reprendre la place qu’occupait l’Onuci dans le cadre de la mise en œuvre de son mandat », avancera la patronne de l’Onuci. Elle a en outre fait cas du plan de transition signé entre l’Onuci, les Nations unies et le Gouvernement. Ce plan de transition, a-t-elle expliqué comporte six domaines dont les droits de l’homme, qui mériteraient d’avoir une attention très particulière pendant un certain moment après le retrait de l’Onuci.
Poursuivant, la Chef de l’Onuci a indiqué que le retrait de sa structure est un motif de fierté pour les Ivoiriens. «C’est parce que vous l’avez voulu, aussi bien les Ivoiriennes, les Ivoiriens, au niveau d’Abidjan qu’au niveau des régions, que la paix est revenue, que le dialogue s’est amorcé, que la réconciliation nationale s’est amorcée, que le respect des droits de l’homme s’est amélioré. Ce sont toutes ces conditions qui ont amené le Conseil de sécurité de décider du départ de l’ONUCI », a-t-elle souligné.
César ébrokié
Aïchatou Mindaoudou, la Représentant spéciale a souligné l’intérêt particulier que l’Onuci porte aux activités de la Cndhci. « Elle l’est encore plus en cette période de retrait de la mission, tant nous sommes soucieux de laisser une commission crédible, visible et opérationnelle, vous l’avez dit Madame la présidente, une Commission qui sera à même de reprendre la place qu’occupait l’Onuci dans le cadre de la mise en œuvre de son mandat », avancera la patronne de l’Onuci. Elle a en outre fait cas du plan de transition signé entre l’Onuci, les Nations unies et le Gouvernement. Ce plan de transition, a-t-elle expliqué comporte six domaines dont les droits de l’homme, qui mériteraient d’avoir une attention très particulière pendant un certain moment après le retrait de l’Onuci.
Poursuivant, la Chef de l’Onuci a indiqué que le retrait de sa structure est un motif de fierté pour les Ivoiriens. «C’est parce que vous l’avez voulu, aussi bien les Ivoiriennes, les Ivoiriens, au niveau d’Abidjan qu’au niveau des régions, que la paix est revenue, que le dialogue s’est amorcé, que la réconciliation nationale s’est amorcée, que le respect des droits de l’homme s’est amélioré. Ce sont toutes ces conditions qui ont amené le Conseil de sécurité de décider du départ de l’ONUCI », a-t-elle souligné.
César ébrokié