Dans le cadre de la mise en œuvre de sa politique de scolarisation obligatoire, la Côte d’Ivoire va recruter 5000 instituteurs adjoints (IA) en 2017 pour mieux ‘’maîtriser la masse salariale’’, a annoncé, mercredi, à Abidjan le Chef de cabinet du ministère ivoirien de l’éducation nationale, Abdoulaye Kouyaté.
Après avoir fait le constat que les instituteurs ordinaire (IO), titulaires du baccalauréat sont ‘’beaucoup plus chers’’, le gouvernement ivoirien a opté pour le recrutement des instituteurs adjoints, titulaires du Brevet d’études du premier cycle (BEPC).
‘’ Les instituteurs ordinaire (IO), sont beaucoup plus chers. Est-ce que par rapport à la politique de scolarisation obligatoire jusqu’en 2025, l’Etat pourra-t-il tenir le coût au plan salarial ?’’ a interrogé M. Kouyaté qui s’exprimait à la tribune du quotidien d’information L’Expression dénommé ‘’Les Grands rendez-vous de l’Expression’’.
Selon lui, se sont les instituteurs adjoints (IA) qui seront recrutés. ‘’Il y a la maîtrise de la masse salariale. Il s’agit de faire en sorte que tous les enfants aient des chances de recevoir un enseignement’’, a insisté le Chef de cabinet du ministère de l’éducation nationale.
Poursuivant, Abdoulaye Kouyaté, a annoncé que ‘’bientôt le concours de CAFOP (Centre d’animation et de formation pédagogique) sera lancé’’. ‘’De toutes les façons le concours aura lieu dans le mois de mars-avril (2017). Il y a 5000 IA (instituteurs adjoints) qui seront recrutés tout simplement pour la maîtrise de la masse salariale’’, a-t-il encore expliqué.
‘’Dans l’espace UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine), la Côte d’Ivoire est le seul pays à sortir de la norme qui est de 35% par rapport à la masse salariale’’, a ajouté M. Kouyaté, faisant remarquer qu’en ‘’cinq ans, ce que le Président Alassane Ouattara fait, si ses prédécesseurs avaient fait le tiers, l’école ne serait pas aujourd’hui dans cet état’’.
LS/APA
Après avoir fait le constat que les instituteurs ordinaire (IO), titulaires du baccalauréat sont ‘’beaucoup plus chers’’, le gouvernement ivoirien a opté pour le recrutement des instituteurs adjoints, titulaires du Brevet d’études du premier cycle (BEPC).
‘’ Les instituteurs ordinaire (IO), sont beaucoup plus chers. Est-ce que par rapport à la politique de scolarisation obligatoire jusqu’en 2025, l’Etat pourra-t-il tenir le coût au plan salarial ?’’ a interrogé M. Kouyaté qui s’exprimait à la tribune du quotidien d’information L’Expression dénommé ‘’Les Grands rendez-vous de l’Expression’’.
Selon lui, se sont les instituteurs adjoints (IA) qui seront recrutés. ‘’Il y a la maîtrise de la masse salariale. Il s’agit de faire en sorte que tous les enfants aient des chances de recevoir un enseignement’’, a insisté le Chef de cabinet du ministère de l’éducation nationale.
Poursuivant, Abdoulaye Kouyaté, a annoncé que ‘’bientôt le concours de CAFOP (Centre d’animation et de formation pédagogique) sera lancé’’. ‘’De toutes les façons le concours aura lieu dans le mois de mars-avril (2017). Il y a 5000 IA (instituteurs adjoints) qui seront recrutés tout simplement pour la maîtrise de la masse salariale’’, a-t-il encore expliqué.
‘’Dans l’espace UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine), la Côte d’Ivoire est le seul pays à sortir de la norme qui est de 35% par rapport à la masse salariale’’, a ajouté M. Kouyaté, faisant remarquer qu’en ‘’cinq ans, ce que le Président Alassane Ouattara fait, si ses prédécesseurs avaient fait le tiers, l’école ne serait pas aujourd’hui dans cet état’’.
LS/APA
