Le Groupe de réflexion et d’action pour la démocratie et les droits de l’homme en Afrique (GRDDH), membre du Front du refus, plateforme de l’opposition qui a appelé au boycott de la nouvelle Constitution, a annoncé dimanche à Budapest, son retrait de cette coalition et appelé à la formation d’une "vraie coalition de la gauche ivoirienne", dans un communiqué.
Le Front du refus est une coalition de partis d’opposition ivoirienne créée pour "faire retirer" l’avant-projet de nouvelle Constitution adoptée le 30 octobre à 93,42 % et promulguée le 8 novembre par le chef de l’Etat Alassane Ouattara.
"Le GRDDH décide de se retirer du Front du refus et appelle à la mise en place d’une plateforme de la gauche démocratique ivoirienne", indique le document transmis lundi à ALERTE INFO et signé par son président Gervais Boga Sako.
Poursuivant, le groupe de réflexion a expliqué qu’il a adhéré à la coalition sur demande du Front populaire ivoirien (FPI). "Dès lors que le FPI décide de sortir de ce Front (…) GRADDH-Afrique ne saurait y demeurer".
S'agissant des législatives du 18 décembre, M.Boga trouve "incongru, illogique et totalement irresponsable" que des membres de cette coalition décident de présenter des candidats, estimant que "ce scrutin législatif sera inéquitable et non-démocratique".
LKO
Le Front du refus est une coalition de partis d’opposition ivoirienne créée pour "faire retirer" l’avant-projet de nouvelle Constitution adoptée le 30 octobre à 93,42 % et promulguée le 8 novembre par le chef de l’Etat Alassane Ouattara.
"Le GRDDH décide de se retirer du Front du refus et appelle à la mise en place d’une plateforme de la gauche démocratique ivoirienne", indique le document transmis lundi à ALERTE INFO et signé par son président Gervais Boga Sako.
Poursuivant, le groupe de réflexion a expliqué qu’il a adhéré à la coalition sur demande du Front populaire ivoirien (FPI). "Dès lors que le FPI décide de sortir de ce Front (…) GRADDH-Afrique ne saurait y demeurer".
S'agissant des législatives du 18 décembre, M.Boga trouve "incongru, illogique et totalement irresponsable" que des membres de cette coalition décident de présenter des candidats, estimant que "ce scrutin législatif sera inéquitable et non-démocratique".
LKO
