ABIDJAN - La Commission nationale des droits de l'homme de Côte d'Ivoire (CNDHCI) interpelle les autorités compétentes sur les attaques répétées de populations civiles sur des agents des forces de l'ordre et de sécurité et invite le gouvernement à identifier les auteurs et à les traduire devant la justice.
Selon un communiqué publié lundi, la présidente de la CNDHCI, Namizata Sangaré, a indiqué qu'elle suit "attentivement avec une attention particulière la recrudescence des cas graves de violations des droits de l'homme et des atteintes au droit à la vie" perpétrés contre les éléments des Forces de défense et de sécurité nationales, notamment de la police et de la gendarmerie nationale au cours de ces trois derniers mois.
Mme Namizata a déploré "ces actes qui portent atteinte au droit à la vie et à des symboles incarnant l'Etat de droit" et invité les autorités compétentes à "améliorer les conditions de travail des forces de l'ordre, à faire toute la lumière sur ces graves atteintes aux droits de l'homme, à identifier leurs auteurs et les traduire devant les juridictions".
Le 1er décembre, deux gendarmes en patrouille ont été assassinés par des bandits à Gbanhui, sur l'axe Bondoukou-Bouna (nord-est).
Au mois de novembre seul, quatre gendarmes ont été tués ou assassinés. Le commissariat de police du quartier Dioulabougou, à Yamoussoukro, a été saccagé par la population, suite au décès d'un jeune homme qui a tenté de s'échapper en sautant du cargo de la police.
Le 2 septembre, à Mankono (nord, 455 km d'Abidjan), un sergent de police, Bénié Marie André Joseph, a reçu mortellement une balle à l'abdomen pendant un contrôle de routine. Son collègue, Coulibaly Tiemon, venu à sa rescousse, a reçu lui aussi une balle en pleine cuisse.
Pour tous ces faits, la CNDHCI invite les autorités à "faire toute la lumière sur ces graves atteintes aux droits de l'homme, à identifier leurs auteurs et à les traduire devant les juridictions".
Selon un communiqué publié lundi, la présidente de la CNDHCI, Namizata Sangaré, a indiqué qu'elle suit "attentivement avec une attention particulière la recrudescence des cas graves de violations des droits de l'homme et des atteintes au droit à la vie" perpétrés contre les éléments des Forces de défense et de sécurité nationales, notamment de la police et de la gendarmerie nationale au cours de ces trois derniers mois.
Mme Namizata a déploré "ces actes qui portent atteinte au droit à la vie et à des symboles incarnant l'Etat de droit" et invité les autorités compétentes à "améliorer les conditions de travail des forces de l'ordre, à faire toute la lumière sur ces graves atteintes aux droits de l'homme, à identifier leurs auteurs et les traduire devant les juridictions".
Le 1er décembre, deux gendarmes en patrouille ont été assassinés par des bandits à Gbanhui, sur l'axe Bondoukou-Bouna (nord-est).
Au mois de novembre seul, quatre gendarmes ont été tués ou assassinés. Le commissariat de police du quartier Dioulabougou, à Yamoussoukro, a été saccagé par la population, suite au décès d'un jeune homme qui a tenté de s'échapper en sautant du cargo de la police.
Le 2 septembre, à Mankono (nord, 455 km d'Abidjan), un sergent de police, Bénié Marie André Joseph, a reçu mortellement une balle à l'abdomen pendant un contrôle de routine. Son collègue, Coulibaly Tiemon, venu à sa rescousse, a reçu lui aussi une balle en pleine cuisse.
Pour tous ces faits, la CNDHCI invite les autorités à "faire toute la lumière sur ces graves atteintes aux droits de l'homme, à identifier leurs auteurs et à les traduire devant les juridictions".