Bouaké - Le correspondant permanent du quotidien Fraternité Matin (Frat-Mat) à Bouaké, Adjé Jean-Alexis, décédé mardi, a été inhumé samedi au cimetière municipal Bouaké, après les derniers hommages rendus à sa mémoire, en présence de ses amis, confrères, connaissances, parents et responsables hiérarchiques affligés.
Les confrères de l’Union des journalistes de Bouaké (UJB), ceux de Yamoussoukro et d’ailleurs, ainsi qu’une délégation de la direction de Fraternité conduite par le directeur des ressources humaines, Souleymane Coulibaly, se sont mobilisés pour apporter leurs soutien moral, matériel et financier à la famille éplorée.
«C’est avec consternation, affliction, que nous avons appris la mort de notre collaborateur Adjé Jean-Alexis; nous disons ‘’Yako’’ (Condoléances) à la famille tout simplement», a laissé entendre le chef de service région du journal Fraternité Matin, Emmanuel Kouassi, implorant "le Tout-Puissant pour le repos de son âme".
M. Adjé a été accompagné dans sa dernière demeure après une messe de requiem à la cathédrale de Bouaké. Il laisse derrière lui une veuve et une fille, étudiante dans une grande d’Abidjan.
Né le 29 mars 1966 à Dimbokro, il a été recruté en 1992 à l’ex-agence Fraternité matin de Bouaké. Il a servi momentanément au service juridique de l’entreprise à Abidjan, avant d'être mis au chômage suite à une mesure de réduction du personnel. Un situation qui l'a emmené à collaborer avec d'autres organes de presse, jusqu'en 2006, où il a été rappelé comme correspondant permanent de la région de Gbêkê par Fraternité Matin.
nbf/tm
Les confrères de l’Union des journalistes de Bouaké (UJB), ceux de Yamoussoukro et d’ailleurs, ainsi qu’une délégation de la direction de Fraternité conduite par le directeur des ressources humaines, Souleymane Coulibaly, se sont mobilisés pour apporter leurs soutien moral, matériel et financier à la famille éplorée.
«C’est avec consternation, affliction, que nous avons appris la mort de notre collaborateur Adjé Jean-Alexis; nous disons ‘’Yako’’ (Condoléances) à la famille tout simplement», a laissé entendre le chef de service région du journal Fraternité Matin, Emmanuel Kouassi, implorant "le Tout-Puissant pour le repos de son âme".
M. Adjé a été accompagné dans sa dernière demeure après une messe de requiem à la cathédrale de Bouaké. Il laisse derrière lui une veuve et une fille, étudiante dans une grande d’Abidjan.
Né le 29 mars 1966 à Dimbokro, il a été recruté en 1992 à l’ex-agence Fraternité matin de Bouaké. Il a servi momentanément au service juridique de l’entreprise à Abidjan, avant d'être mis au chômage suite à une mesure de réduction du personnel. Un situation qui l'a emmené à collaborer avec d'autres organes de presse, jusqu'en 2006, où il a été rappelé comme correspondant permanent de la région de Gbêkê par Fraternité Matin.
nbf/tm