Le récent décès de l’ancien capitaine du Stade d’Abidjan et des Eléphants, Zadi François, cause des problèmes à sa famille et ses connaissances qui veulent lui réserver des obsèques dignes, le 11 janvier prochain, à Kobrégnoa, dans la sous-préfecture de Gagnoa. Mais les moyens financiers pour le faire leur manquent cruellement. Dally Koffi, frère cadet de l’illustre disparu, confie lors d’un entretien : « Zadi François est mort, nous sommes alors en train de nous activer pour rentrer en contact avec les autorités sportives ivoiriennes. Il s’agit entre autres du ministre des Sports et Loisirs Albert François Amichia, du président de la Fédération ivoirienne de football, Augustin Sidy Diallo afin que notre frère qui a fait voler haut le drapeau de notre pays dans les stades africains soit inhumé dignement.
Zadi François fut une figure emblématique du football ivoirien. Nous voulons en conséquence des funérailles à la hauteur des services qu’il a rendus à la Côte d’Ivoire, mais nos moyens ne nous permettent», a-t-il confié les larmes aux yeux.
« J’appelle également le président de la République, les présidents des institutions et ceux des clubs de notre pays qui ont certainement entendu parler de Zadi François de nous venir en aide financièrement, voire matériellement», a-t-il continué.
Quant aux anciennes gloires du football ivoirien résidant à Gagnoa dont Brobéhi Gbaka, touchées par la disparition de Zadi François, envisagent d’adresser des courriers de demande d’aide au préfet de la région du Goh, préfet du département de Gagnoa, N’zi Kanga Rémi, au procureur de la République près le Tribunal de première instance de Gagnoa, Coulibaly Boubacar, aux cadres et de lever des cotisations pour soutenir la famille du défunt qui ne sait plus à quel sein se vouer.
D. N.
Zadi François fut une figure emblématique du football ivoirien. Nous voulons en conséquence des funérailles à la hauteur des services qu’il a rendus à la Côte d’Ivoire, mais nos moyens ne nous permettent», a-t-il confié les larmes aux yeux.
« J’appelle également le président de la République, les présidents des institutions et ceux des clubs de notre pays qui ont certainement entendu parler de Zadi François de nous venir en aide financièrement, voire matériellement», a-t-il continué.
Quant aux anciennes gloires du football ivoirien résidant à Gagnoa dont Brobéhi Gbaka, touchées par la disparition de Zadi François, envisagent d’adresser des courriers de demande d’aide au préfet de la région du Goh, préfet du département de Gagnoa, N’zi Kanga Rémi, au procureur de la République près le Tribunal de première instance de Gagnoa, Coulibaly Boubacar, aux cadres et de lever des cotisations pour soutenir la famille du défunt qui ne sait plus à quel sein se vouer.
D. N.
