Deux semaines après la débâcle des candidats du Rassemblement des houphouëtistes pour la paix et la démocratie (RHDP) issus du parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) aux dernières élections législatives dans les deux circonscriptions électorales du département de Dimbokro, les responsables du parti notamment le président du conseil régional et le maire ont affirmé que le PDCI est bel et bien vivant dans la région.
« Je confirme que le PDCI est vivant dans la région », a déclaré le président du Conseil régional N’guessan Koffi Bernard ajoutant que la victoire de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI) est « un accident de parcours », lors d’un entretien samedi à Dimbokro.
Le maire Bilé Diéméléou Amon Gabriel qui a souligné l’importance sociologique du parti septuagénaire dans la région, a renchéri que « le PDCI n’est pas tombé » il a perdu seulement une bataille mais pas la guerre. « Quand je regarde les résultats je dis que quelque chose n’a pas fonctionné (..) Il faut une recomposition. Une défaite aussi appelle une victoire, il faut tirer les leçons », a-t-il proposé.
Pour ces deux élus, solidaires du choix des candidats se disent déçus par ces défaites du RHDP et partant du PDCI dans les circonscriptions électorales de Dimbokro commune et sous-préfecture et de Abigui, Nofou et Djangokro, communes et sous-préfectures. Ils ont appelé à une mue au sein du parti pour garder le cap. « La politique est un art. La politique est un métier. Il faut l’apprendre. Il faut être dans le peuple. Je crois et j’ai foi en l’union des fils d’Houphouët-Boigny. Les partis peuvent être forts mais les choix que vous opérez doivent répondre aux aspirations du peuple », a conclu N’guessan Bernard.
ik/kam
« Je confirme que le PDCI est vivant dans la région », a déclaré le président du Conseil régional N’guessan Koffi Bernard ajoutant que la victoire de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI) est « un accident de parcours », lors d’un entretien samedi à Dimbokro.
Le maire Bilé Diéméléou Amon Gabriel qui a souligné l’importance sociologique du parti septuagénaire dans la région, a renchéri que « le PDCI n’est pas tombé » il a perdu seulement une bataille mais pas la guerre. « Quand je regarde les résultats je dis que quelque chose n’a pas fonctionné (..) Il faut une recomposition. Une défaite aussi appelle une victoire, il faut tirer les leçons », a-t-il proposé.
Pour ces deux élus, solidaires du choix des candidats se disent déçus par ces défaites du RHDP et partant du PDCI dans les circonscriptions électorales de Dimbokro commune et sous-préfecture et de Abigui, Nofou et Djangokro, communes et sous-préfectures. Ils ont appelé à une mue au sein du parti pour garder le cap. « La politique est un art. La politique est un métier. Il faut l’apprendre. Il faut être dans le peuple. Je crois et j’ai foi en l’union des fils d’Houphouët-Boigny. Les partis peuvent être forts mais les choix que vous opérez doivent répondre aux aspirations du peuple », a conclu N’guessan Bernard.
ik/kam