Abidjan - La Banque africaine de développement (BAD) dispose désormais d’un nouveau modèle pour le développement du continent africain.
Adopté en 2016, le nouveau modèle de développement et de prestation de services (DBDM) aura pour effet de rapprocher la Banque de ses clients, de rationaliser ses procédés de gestion, de relever son efficacité institutionnelle et d’améliorer sa performance financière, souligne-t-on.
Aligné sur la Stratégie décennale de la Banque et sur le Top 5, les cinq priorités de développement de base mises à l’échelle du continent, ce modèle sera introduit par étapes au cours de la période 2016-2018 et posera les bases de cinq initiatives au sein de la Banque : le rapprochement d’avec ses clients pour leur offrir de meilleurs services, la reconfiguration du Siège pour aider les régions à produire de meilleurs résultats, le renforcement d’une culture de performance en vue d’attirer et de retenir les talents, la rationalisation des processus de gestion pour promouvoir l’efficience et l’efficacité, et l’amélioration de sa performance financière ainsi que l’accroissement de son impact sur le développement.
Par ailleurs, le Groupe a procédé à de nouvelles réformes aux plans institutionnel, opérationnel pour répondre aux besoins des Etats africains et autres institutions en Afrique.
Ainsi face à la baisse du taux de croissance de l’Afrique en raison de la conjoncture économique mondiale, l’institution financière panafricaine a procédé, en 2016, au lancement du "New deal" sur l’énergie pour l’Afrique ainsi qu’un partenariat transformateur sur l’énergie à l’occasion du Forum économique mondial de Davos. La Banque a approuvé un programme d’appui budgétaire d’un milliard de dollars EU au Nigéria pour aider ce pays à gérer la chute des prix pétroliers programme, un autre pour appuyer l’industrie et l’énergie de l’Algérie, pour un montant de 900 millions de dollars EU, et financé, à hauteur de 500 millions de dollars EU, la phase II du programme d’appui à la gouvernance économique et énergétique de l’Egypte.
Dans le domaine agricole, les agriculteurs ont bénéficié de plusieurs réalisations de la BAD au niveau des semences améliorées, de l’augmentation des superficies irriguées, des technologies durables et l’accès accru à des marchés et sources de financement.
Au niveau de l’énergie, de l’infrastructure, de l’eau et de l’assainissement, de l’intégration, des transports publics, de l’éducation et des soins de santé, en vue d’améliorer les conditions de vie de la majorité des Africains et de créer un milieu propice à la transformation économique, la Banque a approuvé des financements de projets en Côte d’Ivoire, au Rwanda et au Ghana.
La Banque a également géré le Pavillon de l’Afrique aux récentes négociations de la COP 22 sur le changement climatique au Maroc.
Sur le plan des partenariats, la Banque a intensifié ses efforts de plaidoyer en 2016, en participant notamment à des tables rondes et conférences économiques de haut niveau en Afrique, en Chine, au Japon et en Corée, en vue de renforcer l’efficacité de l’aide, dans le cadre de la Déclaration de Paris et en concertation avec d’autres banques multilatérales de développement.
La BAD a également établi plusieurs partenariats à la 5ème conférence ministérielle de coopération économique Corée-Afrique (KOAFEC) à Séoul et à la Sixième Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD VI) à Nairobi.
kp
Adopté en 2016, le nouveau modèle de développement et de prestation de services (DBDM) aura pour effet de rapprocher la Banque de ses clients, de rationaliser ses procédés de gestion, de relever son efficacité institutionnelle et d’améliorer sa performance financière, souligne-t-on.
Aligné sur la Stratégie décennale de la Banque et sur le Top 5, les cinq priorités de développement de base mises à l’échelle du continent, ce modèle sera introduit par étapes au cours de la période 2016-2018 et posera les bases de cinq initiatives au sein de la Banque : le rapprochement d’avec ses clients pour leur offrir de meilleurs services, la reconfiguration du Siège pour aider les régions à produire de meilleurs résultats, le renforcement d’une culture de performance en vue d’attirer et de retenir les talents, la rationalisation des processus de gestion pour promouvoir l’efficience et l’efficacité, et l’amélioration de sa performance financière ainsi que l’accroissement de son impact sur le développement.
Par ailleurs, le Groupe a procédé à de nouvelles réformes aux plans institutionnel, opérationnel pour répondre aux besoins des Etats africains et autres institutions en Afrique.
Ainsi face à la baisse du taux de croissance de l’Afrique en raison de la conjoncture économique mondiale, l’institution financière panafricaine a procédé, en 2016, au lancement du "New deal" sur l’énergie pour l’Afrique ainsi qu’un partenariat transformateur sur l’énergie à l’occasion du Forum économique mondial de Davos. La Banque a approuvé un programme d’appui budgétaire d’un milliard de dollars EU au Nigéria pour aider ce pays à gérer la chute des prix pétroliers programme, un autre pour appuyer l’industrie et l’énergie de l’Algérie, pour un montant de 900 millions de dollars EU, et financé, à hauteur de 500 millions de dollars EU, la phase II du programme d’appui à la gouvernance économique et énergétique de l’Egypte.
Dans le domaine agricole, les agriculteurs ont bénéficié de plusieurs réalisations de la BAD au niveau des semences améliorées, de l’augmentation des superficies irriguées, des technologies durables et l’accès accru à des marchés et sources de financement.
Au niveau de l’énergie, de l’infrastructure, de l’eau et de l’assainissement, de l’intégration, des transports publics, de l’éducation et des soins de santé, en vue d’améliorer les conditions de vie de la majorité des Africains et de créer un milieu propice à la transformation économique, la Banque a approuvé des financements de projets en Côte d’Ivoire, au Rwanda et au Ghana.
La Banque a également géré le Pavillon de l’Afrique aux récentes négociations de la COP 22 sur le changement climatique au Maroc.
Sur le plan des partenariats, la Banque a intensifié ses efforts de plaidoyer en 2016, en participant notamment à des tables rondes et conférences économiques de haut niveau en Afrique, en Chine, au Japon et en Corée, en vue de renforcer l’efficacité de l’aide, dans le cadre de la Déclaration de Paris et en concertation avec d’autres banques multilatérales de développement.
La BAD a également établi plusieurs partenariats à la 5ème conférence ministérielle de coopération économique Corée-Afrique (KOAFEC) à Séoul et à la Sixième Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD VI) à Nairobi.
kp