Grand-Bassam - Sous la supervision du Conseil coton–anacarde, un atelier régional consacré au bilan et à la revue à mi-parcours du projet de la chaine de valeur Anacarde en Afrique de l’ouest financé par le Conseil Ouest et Centre africain de la recherche et du développement agricole (CORAF) s’est tenu lundi et mardi à Grand-Bassam.
Pendant deux jours, les 25 participants venus du Bénin, du Burkina Faso, du Sénégal et de la Côte d’Ivoire, ont consacré leurs travaux aux problèmes et aux risques auxquels le projet est confronté pour une meilleure planification en 2017 en vue d’atteindre les objectifs attendus.
Après les présentations des résultats des pays participants, depuis le lancement du CORAF en 2015, il ressort plusieurs difficultés liées aux conditions climatiques défavorables, à la faible valorisation et communication sur les acquis et le taux d’approvisionnement et d’exécution relativement faibles, respectivement de moins de 80 et 90%.
Selon la coordonnatrice de ce projet, Diomandé Ouattara, représentant le directeur général du Conseil coton–anacarde, des solutions sont envisageables pour l’amélioration de l’exécution du projet. Il s’agit, entre autres, de la proposition d’activités techniques pour accélérer les programmes et de la mise en place d’un site internet et d’information géographique.
Ce projet vise à réduire la pauvreté en milieu rural par une augmentation de revenus des acteurs bénéficiaires à travers l’amélioration du fonctionnement des chaines d’approvisionnement. Les principaux groupes cibles du projet sont les petits planteurs, transformateurs des zones sélectionnées productrices d’anacarde. Au moins 3.600 acteurs devraient bénéficier directement des interventions du projet, dont 40% de femmes, rappelle-t-on.
ko/aaa/fmo
Pendant deux jours, les 25 participants venus du Bénin, du Burkina Faso, du Sénégal et de la Côte d’Ivoire, ont consacré leurs travaux aux problèmes et aux risques auxquels le projet est confronté pour une meilleure planification en 2017 en vue d’atteindre les objectifs attendus.
Après les présentations des résultats des pays participants, depuis le lancement du CORAF en 2015, il ressort plusieurs difficultés liées aux conditions climatiques défavorables, à la faible valorisation et communication sur les acquis et le taux d’approvisionnement et d’exécution relativement faibles, respectivement de moins de 80 et 90%.
Selon la coordonnatrice de ce projet, Diomandé Ouattara, représentant le directeur général du Conseil coton–anacarde, des solutions sont envisageables pour l’amélioration de l’exécution du projet. Il s’agit, entre autres, de la proposition d’activités techniques pour accélérer les programmes et de la mise en place d’un site internet et d’information géographique.
Ce projet vise à réduire la pauvreté en milieu rural par une augmentation de revenus des acteurs bénéficiaires à travers l’amélioration du fonctionnement des chaines d’approvisionnement. Les principaux groupes cibles du projet sont les petits planteurs, transformateurs des zones sélectionnées productrices d’anacarde. Au moins 3.600 acteurs devraient bénéficier directement des interventions du projet, dont 40% de femmes, rappelle-t-on.
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