Le Président de la Fédération ivoirienne des PME (FIPME), Dr Joseph Boguifo a animé ce jeudi 19 janvier, une conférence de presse au siège de ladite faitière, pour confirmer la tenue de la 6è édition des Journées nationales promotionnelles des PME et de l’Artisanat (JNPPME-A), prévue les 23, 24 et 25 mars 2017 à Abidjan, dont le thème : « Relations PME et Banques : comment briser le mur de confiance ? »
En effet, selon le Dr Joseph Boguifo, après un report dû à l’actualité politique, la 6è édition des Journées nationales promotionnelles des PME et de l’Artisanat (JNPPME-A), en collaboration avec le Ministère du commerce, de l’artisanat et de la promotion des PME aura bel et bien lieu.
Cette édition connaitra la participation de deux invités spéciaux, notamment des délégations de la CGPME France (organisation principale) et de Conect Tunisie (patronale) pour apporter leur expérience de relationnel avec les banques à leurs homologues ivoiriens.
Le Président de la FIPME a indiqué qu’il s’agira au cours des JNPPME-A 2017 de faire un examen de la problématique de l’accès des PME aux financements bancaires, d’évaluer la pertinence du dispositif actuel et d’identifier les réformes qui pourraient permettre l’accompagnement adéquat du secteur bancaire aux PME en Côte d’Ivoire.
« La plupart des PME en Côte d’Ivoire (57%) se créent à partir de 500 milles FCFA, d’emblée faible à la création d’une bonne entreprise. Pendant que 0,04% de grandes entreprises se créent avec un fonds supérieur à 500 milles FCFA. Cependant 85% de celles qui se créent avec 500 milles FCFA emploient moins de 5 personnes, qui est néfaste pour le PIB » a expliqué Dr Joseph Boguifo.
Il a par ailleurs ajouté que sur 3608 PME après 10 ans 60% d’elles disparaissent par manque de financement et face à un environnement défavorable. Or le besoin de financement est une exigence qui s’impose à chaque étape de la vie de la PME : création, exploitation, développement, restructuration, reprise et transmission.
En retour, les banques dénoncent le manque de sincérité et de professionnalisme des dirigeants de PME, auquel s’ajoute, quelques fois, la taille de leur activité, insuffisante pour justifier la prise d’un certain niveau de risques.
En définitive, cette énième édition des Journées nationales promotionnelles des PME et de l’Artisanat vient constituer un cadre idéal par excellence pour discuter de tout ce qui touche à ces secteurs.
JOB ATTEMENE
En effet, selon le Dr Joseph Boguifo, après un report dû à l’actualité politique, la 6è édition des Journées nationales promotionnelles des PME et de l’Artisanat (JNPPME-A), en collaboration avec le Ministère du commerce, de l’artisanat et de la promotion des PME aura bel et bien lieu.
Cette édition connaitra la participation de deux invités spéciaux, notamment des délégations de la CGPME France (organisation principale) et de Conect Tunisie (patronale) pour apporter leur expérience de relationnel avec les banques à leurs homologues ivoiriens.
Le Président de la FIPME a indiqué qu’il s’agira au cours des JNPPME-A 2017 de faire un examen de la problématique de l’accès des PME aux financements bancaires, d’évaluer la pertinence du dispositif actuel et d’identifier les réformes qui pourraient permettre l’accompagnement adéquat du secteur bancaire aux PME en Côte d’Ivoire.
« La plupart des PME en Côte d’Ivoire (57%) se créent à partir de 500 milles FCFA, d’emblée faible à la création d’une bonne entreprise. Pendant que 0,04% de grandes entreprises se créent avec un fonds supérieur à 500 milles FCFA. Cependant 85% de celles qui se créent avec 500 milles FCFA emploient moins de 5 personnes, qui est néfaste pour le PIB » a expliqué Dr Joseph Boguifo.
Il a par ailleurs ajouté que sur 3608 PME après 10 ans 60% d’elles disparaissent par manque de financement et face à un environnement défavorable. Or le besoin de financement est une exigence qui s’impose à chaque étape de la vie de la PME : création, exploitation, développement, restructuration, reprise et transmission.
En retour, les banques dénoncent le manque de sincérité et de professionnalisme des dirigeants de PME, auquel s’ajoute, quelques fois, la taille de leur activité, insuffisante pour justifier la prise d’un certain niveau de risques.
En définitive, cette énième édition des Journées nationales promotionnelles des PME et de l’Artisanat vient constituer un cadre idéal par excellence pour discuter de tout ce qui touche à ces secteurs.
JOB ATTEMENE
