D’éminents universitaires se sont retrouvés ce jeudi 26 janvier, a l’initiative de l’Academie des Sciences, des Arts, des Cultures d’Afrique et des Diasporas Africaines (ASCAD) pour parler du rôle des Universités dans l’innovation qui est la capacité dont dispose une personne ou un pays à chercher, créer ou réinventer.
La pertinence de ce thème plus que d’actualité a suscité un grand intérêt auprès des participants qui ont pris d’assaut l’amphithéâtre pierre fakoury du siège de l’ordre des architectes de Côte d’Ivoire de Cocody lieu ou se déroulait cette conférence publique.
Le président de l’ASCAD professeur Aïdara s’est réjouit de la forte mobilisation autour de ce thème promoteur développé par un conférencier de qualité en la personne du professeur Antoine Asseypo Hauhouot.
Il est revenu sur la situation actuelle de nos universités qui ne facilite pas l’émergence de la recherche scientifique. Il a indiqué qu’ aucune université de l’Afrique sub-saharienne ne figure au top 500 dans le classement 2015- 2016 de l’Université de Shanghaï. À en croire le professeur Asseypo, ces lieux d’effervescence intellectuels n’évoluent pas dans un environnement social, politique propice à la recherche. Au regard du nombre pléthorique des étudiants dans nos amphithéâtres qui sont sans doute sous-équipées ainsi que l’inexistence d’une politique scientifique d’accompagnement des chercheurs. Et pourtant << Ceux qui ont les forces scientifique les plus importantes gouvernent le monde>> a martelé le conferencié. Ce qui justifie la position de l’Afrique qui est exclu du gouvernement du monde et léguer au rôle secondaire d’exécution.
Les piliers de classement des nations, les stratégies de lutte contre la précarité, des grands fléaux et le développement dépendent du développement de la Science. Alors si l’Afrique veut arriver au stade de puissance scientifique de laquelle émanent la puissance industrielle, la puissance économique etc.. les États doivent faire asseoir une puissance éducative et une volonté politique d’accompagnement et de financements de la recherche qui sont la colonne vertébrale de toute puissance, la mise en place d’un système scientifique cohérent et de visibilité des chercheurs.
Les Universités quant à elles, doivent normaliser la connaissance en élaborant un plan stratégique et de programmes d’actions pour palier à l’abscence de synergie comme vient de le faire le maroc qui a signé des partenariats avec des universités de Shanghaï. C’est en ces termes que le conférencier a fait des propositions concrètes pour améliorer le niveau de l’innovation tout en espérerant des prix Nobel.
DA
La pertinence de ce thème plus que d’actualité a suscité un grand intérêt auprès des participants qui ont pris d’assaut l’amphithéâtre pierre fakoury du siège de l’ordre des architectes de Côte d’Ivoire de Cocody lieu ou se déroulait cette conférence publique.
Le président de l’ASCAD professeur Aïdara s’est réjouit de la forte mobilisation autour de ce thème promoteur développé par un conférencier de qualité en la personne du professeur Antoine Asseypo Hauhouot.
Il est revenu sur la situation actuelle de nos universités qui ne facilite pas l’émergence de la recherche scientifique. Il a indiqué qu’ aucune université de l’Afrique sub-saharienne ne figure au top 500 dans le classement 2015- 2016 de l’Université de Shanghaï. À en croire le professeur Asseypo, ces lieux d’effervescence intellectuels n’évoluent pas dans un environnement social, politique propice à la recherche. Au regard du nombre pléthorique des étudiants dans nos amphithéâtres qui sont sans doute sous-équipées ainsi que l’inexistence d’une politique scientifique d’accompagnement des chercheurs. Et pourtant << Ceux qui ont les forces scientifique les plus importantes gouvernent le monde>> a martelé le conferencié. Ce qui justifie la position de l’Afrique qui est exclu du gouvernement du monde et léguer au rôle secondaire d’exécution.
Les piliers de classement des nations, les stratégies de lutte contre la précarité, des grands fléaux et le développement dépendent du développement de la Science. Alors si l’Afrique veut arriver au stade de puissance scientifique de laquelle émanent la puissance industrielle, la puissance économique etc.. les États doivent faire asseoir une puissance éducative et une volonté politique d’accompagnement et de financements de la recherche qui sont la colonne vertébrale de toute puissance, la mise en place d’un système scientifique cohérent et de visibilité des chercheurs.
Les Universités quant à elles, doivent normaliser la connaissance en élaborant un plan stratégique et de programmes d’actions pour palier à l’abscence de synergie comme vient de le faire le maroc qui a signé des partenariats avec des universités de Shanghaï. C’est en ces termes que le conférencier a fait des propositions concrètes pour améliorer le niveau de l’innovation tout en espérerant des prix Nobel.
DA