Le secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire ( FESCI) Assi Fulgence a expliqué le mercredi 8 février sur Onuci-Fm les points de leurs revendications qui ont été satisfaits et qui ont motivé la levée du mot d’ordre de grève.
« Au niveau de la bourse au titre de l’année 2014-2015, sur toute l’étendue du territoire , on avait moins de 1000 étudiants qui avaient obtenu la bourse. Nous avons demandé que l’Etat puisse augmenter le portefeuille budgétaire de la bourse. En plus de cela l’Etat a accepté qu’il y ait plus de 11000 types de bourse. Le deuxième point, c’est la question relative à la confirmation de l’orientation des étudiants dans les grandes écoles et nos autorités ont accepté de supprimer ces frais d’inscription en ligne qui s’élevaient à 5200 pour les étudiants des grandes écoles. Nous avons aussi demandé qu’au titre de l’année 2016-2017, qu’on ne puisse pas appliquer unilatéralement le mode d’inscription en ligne pour les universités publiques et donc à partir des échanges qu’on a eus avec les autorités, elles nous ont dit qu’elles acceptaient que les étudiants partent dans les guichets pour faire leurs inscriptions. Au niveau des inscriptions pour les grandes écoles, concernant les étudiants orientés par l’Etat, nous avons pu obtenir que ces frais d’inscription soient plafonnés à 40000 F .
Notre intérêt à nous en tant que organisation d’étudiants c’est de privilégier les négociations ».
T.A.B avec T.Z
« Au niveau de la bourse au titre de l’année 2014-2015, sur toute l’étendue du territoire , on avait moins de 1000 étudiants qui avaient obtenu la bourse. Nous avons demandé que l’Etat puisse augmenter le portefeuille budgétaire de la bourse. En plus de cela l’Etat a accepté qu’il y ait plus de 11000 types de bourse. Le deuxième point, c’est la question relative à la confirmation de l’orientation des étudiants dans les grandes écoles et nos autorités ont accepté de supprimer ces frais d’inscription en ligne qui s’élevaient à 5200 pour les étudiants des grandes écoles. Nous avons aussi demandé qu’au titre de l’année 2016-2017, qu’on ne puisse pas appliquer unilatéralement le mode d’inscription en ligne pour les universités publiques et donc à partir des échanges qu’on a eus avec les autorités, elles nous ont dit qu’elles acceptaient que les étudiants partent dans les guichets pour faire leurs inscriptions. Au niveau des inscriptions pour les grandes écoles, concernant les étudiants orientés par l’Etat, nous avons pu obtenir que ces frais d’inscription soient plafonnés à 40000 F .
Notre intérêt à nous en tant que organisation d’étudiants c’est de privilégier les négociations ».
T.A.B avec T.Z
