Bondoukou - Des producteurs de la noix de cajou de Bondoukou, dans une interview express réalisée mardi par l’AIP, ont souhaité que le prix bord champ soit fixé à 700 FCFA/kg pour la campagne 2017 qui va s’ouvrir bientôt.
« Dans l’année, c’est une seule fois qu’on récolte l’anacarde et la campagne est pour trois mois. Une fois les trois mois passés, nous avons des problèmes. Donc, cette année, notre souhait le plus absolu par rapport au prix de l’anacarde est de 700 francs », a indiqué un producteur, Kouadio San Jules.
« Déjà la petite campagne a démarré avec 500 francs. Et comme le gouvernement a promis que le prix CAF c’est 60% pour les producteurs, on souhaite qu’on atteigne cette année 650 voire 700 francs », a souligné un autre producteur, Peté Bini.
Ils ont formulé ce vœu pour éviter la fuite du produit au Ghana et vivre aisément du fruit de leur labeur. « Nous avons souhaité cela pour qu’on puisse entretenir les plantations et faire face aux nombreuses charges surtout la scolarisation de nos enfants qui sont très souvent affectés dans de grandes écoles qui coûtent chers », a justifié M. Kouadio
« Les Ghanéens rentrent ici pour payer à 800 francs. Nous ne voulons pas que notre produit parte au Ghana, c’est pourquoi nous demandons l’augmentation du prix », a ajouté Sawadogo Salam.
Le prix du kilogramme bord champ de la noix de cajou était fixé à 350 FCFA pour la campagne de 2016 , rappelle-t-on.
ns/cmas
« Dans l’année, c’est une seule fois qu’on récolte l’anacarde et la campagne est pour trois mois. Une fois les trois mois passés, nous avons des problèmes. Donc, cette année, notre souhait le plus absolu par rapport au prix de l’anacarde est de 700 francs », a indiqué un producteur, Kouadio San Jules.
« Déjà la petite campagne a démarré avec 500 francs. Et comme le gouvernement a promis que le prix CAF c’est 60% pour les producteurs, on souhaite qu’on atteigne cette année 650 voire 700 francs », a souligné un autre producteur, Peté Bini.
Ils ont formulé ce vœu pour éviter la fuite du produit au Ghana et vivre aisément du fruit de leur labeur. « Nous avons souhaité cela pour qu’on puisse entretenir les plantations et faire face aux nombreuses charges surtout la scolarisation de nos enfants qui sont très souvent affectés dans de grandes écoles qui coûtent chers », a justifié M. Kouadio
« Les Ghanéens rentrent ici pour payer à 800 francs. Nous ne voulons pas que notre produit parte au Ghana, c’est pourquoi nous demandons l’augmentation du prix », a ajouté Sawadogo Salam.
Le prix du kilogramme bord champ de la noix de cajou était fixé à 350 FCFA pour la campagne de 2016 , rappelle-t-on.
ns/cmas