Le bâtiment qui abrite l'Université virtuelle en Côte d'Ivoire -un projet cher à Alassane Ouattara-, pourrait être retiré au gouvernement ivoirien parce que les services de la ministre de l'enseignement supérieur tardent à boucler les procédures d'achat et de propriété.
Les clés ont déjà été remises au ministère après le paiement chez notaire d'une avance de 203 millions Fcfa sur 403 millions Fcfa. Pourtant depuis trois mois, les propriétaires réclament en vain la signature définitive du contrat en vue du paiement du solde.
Mme Bakayoko Ly Ramata, ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, n'arrive pas à recevoir ces propriétaires qui sont inquiets, parce qu'ils ils sont assaillis par leurs débiteurs, et sont même soupçonné d'avoir perçu le reste de l'argent.
Que se passe-t-il ? Qui empêche la ministre de signer l'acte de vente ? A-t-elle violé les procédures ? La vente sera-t-elle remise en cause ? Est-ce vrai que la ministre est désavouée par un collègue qui estime que ce n'était pas à elle de signer la convention d'achat ?
Si rien n'est fait rapidement, l'administration de l'université virtuelle pourrait être vidée des lieux ; mettant du coup en danger ce projet qui a déjà des problèmes au niveau des étudiants ivoiriens qui préfèrent le réel au virtuel.
Source : afrikipresse.fr
Les clés ont déjà été remises au ministère après le paiement chez notaire d'une avance de 203 millions Fcfa sur 403 millions Fcfa. Pourtant depuis trois mois, les propriétaires réclament en vain la signature définitive du contrat en vue du paiement du solde.
Mme Bakayoko Ly Ramata, ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, n'arrive pas à recevoir ces propriétaires qui sont inquiets, parce qu'ils ils sont assaillis par leurs débiteurs, et sont même soupçonné d'avoir perçu le reste de l'argent.
Que se passe-t-il ? Qui empêche la ministre de signer l'acte de vente ? A-t-elle violé les procédures ? La vente sera-t-elle remise en cause ? Est-ce vrai que la ministre est désavouée par un collègue qui estime que ce n'était pas à elle de signer la convention d'achat ?
Si rien n'est fait rapidement, l'administration de l'université virtuelle pourrait être vidée des lieux ; mettant du coup en danger ce projet qui a déjà des problèmes au niveau des étudiants ivoiriens qui préfèrent le réel au virtuel.
Source : afrikipresse.fr