Korhogo - L’Inspecteur de l’enseignement primaire et préscolaire II (IEP 2) de Korhogo, Ouassa Kouadio, a tenu vendredi, une séance de travail avec les instituteurs stagiaires de sa circonscription en vue de les « préparer » à affronter leur examen de titularisation qui débute le 27 février.
L’Inspecteur de l’enseignement primaire et préscolaire II (IEPP 2) de Korhogo, Ouassa Kouadio, a mis ses instituteurs stagiaires en garde contre le racket lors de l'examen de titularisation.
Il s’agissait pour M. Ouassa Kouadio de « donner les derniers conseils » pratiques et pédagogiques aux candidats et de répondre à leurs préoccupations particulières avant le début des inspections.
L’inspection est un examen pratique que passe l’instituteur stagiaire, placé en responsabilité de classe, pour l’obtention du Certificat d’aptitude professionnel (CAP) ouvrant droit à sa titularisation dans le corps des enseignants du primaire et du préscolaire.
Admettant que « toute inspection est stressante », M. Ouassa Kouadio a demandé à ses 142 instituteurs stagiaires de se concentrer sur sa préparation et surtout d’éviter de croire à quiconque leur demanderait de l’argent en son nom.
« Si quelqu’un vous dit que je demande de l’argent, venez me le dire. Si vous ne pouvez venir, vous pouvez au moins saisir votre syndicat », a-t-il insisté.
(AIP)
kaem/fmo
L’Inspecteur de l’enseignement primaire et préscolaire II (IEPP 2) de Korhogo, Ouassa Kouadio, a mis ses instituteurs stagiaires en garde contre le racket lors de l'examen de titularisation.
Il s’agissait pour M. Ouassa Kouadio de « donner les derniers conseils » pratiques et pédagogiques aux candidats et de répondre à leurs préoccupations particulières avant le début des inspections.
L’inspection est un examen pratique que passe l’instituteur stagiaire, placé en responsabilité de classe, pour l’obtention du Certificat d’aptitude professionnel (CAP) ouvrant droit à sa titularisation dans le corps des enseignants du primaire et du préscolaire.
Admettant que « toute inspection est stressante », M. Ouassa Kouadio a demandé à ses 142 instituteurs stagiaires de se concentrer sur sa préparation et surtout d’éviter de croire à quiconque leur demanderait de l’argent en son nom.
« Si quelqu’un vous dit que je demande de l’argent, venez me le dire. Si vous ne pouvez venir, vous pouvez au moins saisir votre syndicat », a-t-il insisté.
(AIP)
kaem/fmo
