L’Ambassade des Etats-Unis a offert un concert de jazz le jeudi 23 février 2017 pour marquer la fin de la célébration du mois de l’histoire afro-américaine édition 2017. Aux Etats-Unis, le mois de février est dédié à la célébration du rôle joué par les afro-américains dans le développement des Etats-Unis.
La soirée a été animée par le pianiste Alain Mechoulam, le guitariste Mathieu Nanguy, le trompettiste André Laourou ainsi que le chef de la section sécurité de l’Ambassade des Etats-Unis, Bill McCarthy, qui a joué de la batterie avec certains grands du jazz du monde entier avant d’embrasser la carrière de diplomate.
« Notre célébration du jazz nous permet de mettre en exergue la diversité même de l’Amérique ainsi que nos relations avec le peuple de l’Afrique, » a déclaré Monsieur Haviland dans son discours. « Ce n’est pas seulement par le jazz que les noirs américains ont enrichi l’Amérique. Notre vie civique, notre économie et tous les aspects de notre culture ont été enrichi par notre population afro-américaine, » a-t-il noté.
Dans le cadre de cette célébration, l’Ambassade des Etats-Unis a organisé plusieurs activités notamment une conférence-débat sur le livre intitulé : « Mon combat pour la justice », un classique de Ida B. Wells, un esclave qui a participé au combat pour la liberté et qui a permis à l’Amérique d’être aujourd’hui un pays où les gens de toutes les races, nationalités, religions et couleurs peuvent chercher la liberté.
La célébration a été également marquée par « Hello, America ! »une émission réalisée en collaboration avec Radio Al Bayane au cours de laquelle David Mosby, un afro-américain et chef de la section politique et économique de l’Ambassade des Etats-Unis, a parlé de son parcours et des obstacles qu’il a dû franchir pour réaliser son rêve de devenir diplomate.
L’autre événement majeur au cours du mois de l’histoire afro-américaine édition 2017 aura été la projection au Goethe-Institut du film« Selma » qui raconte les péripéties d’une campagne à haut risque pour revendiquer l’égalité des droits de vote menée en 1965 par Dr. Martin Luther King Jr., l’une des figures emblématiques de la lutte pour les libertés civiques aux Etats-Unis.
La soirée a été animée par le pianiste Alain Mechoulam, le guitariste Mathieu Nanguy, le trompettiste André Laourou ainsi que le chef de la section sécurité de l’Ambassade des Etats-Unis, Bill McCarthy, qui a joué de la batterie avec certains grands du jazz du monde entier avant d’embrasser la carrière de diplomate.
« Notre célébration du jazz nous permet de mettre en exergue la diversité même de l’Amérique ainsi que nos relations avec le peuple de l’Afrique, » a déclaré Monsieur Haviland dans son discours. « Ce n’est pas seulement par le jazz que les noirs américains ont enrichi l’Amérique. Notre vie civique, notre économie et tous les aspects de notre culture ont été enrichi par notre population afro-américaine, » a-t-il noté.
Dans le cadre de cette célébration, l’Ambassade des Etats-Unis a organisé plusieurs activités notamment une conférence-débat sur le livre intitulé : « Mon combat pour la justice », un classique de Ida B. Wells, un esclave qui a participé au combat pour la liberté et qui a permis à l’Amérique d’être aujourd’hui un pays où les gens de toutes les races, nationalités, religions et couleurs peuvent chercher la liberté.
La célébration a été également marquée par « Hello, America ! »une émission réalisée en collaboration avec Radio Al Bayane au cours de laquelle David Mosby, un afro-américain et chef de la section politique et économique de l’Ambassade des Etats-Unis, a parlé de son parcours et des obstacles qu’il a dû franchir pour réaliser son rêve de devenir diplomate.
L’autre événement majeur au cours du mois de l’histoire afro-américaine édition 2017 aura été la projection au Goethe-Institut du film« Selma » qui raconte les péripéties d’une campagne à haut risque pour revendiquer l’égalité des droits de vote menée en 1965 par Dr. Martin Luther King Jr., l’une des figures emblématiques de la lutte pour les libertés civiques aux Etats-Unis.