Dans un communiqué de presse dont nous avons reçu copie, Kandia Camara, ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle a apporté des précisions sur des prétendues radiations d’élèves du système éducatif ivoirien.
« À travers un communiqué publié dans la presse et sur les réseaux sociaux, le Bureau Exécutif National de la FESCI appelle à des marches éclatées pour réclamer la libération d’élèves qui seraient emprisonnés et la réintégration d’autres qui seraient radiés.
Madame le Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Technique et la Formation Professionnelle tient à informer l’opinion nationale et internationale, que contrairement à ces allégations, aucun élève n’a été radié d’un établissement public de Côte d’Ivoire », indique le communiqué. Le communiqué dénonce également les actes de vandalisme dont font montre des élèves sur certains de leurs camarades et des enseignants. « Cependant, il est avéré que la police a interpellé des élèves pour détention de drogue et d’armes blanches et pour violences et voies de fait sur d’autres élèves et sur des enseignants qu’ils voulaient déloger.
Cela a occasionné des blessés graves dont un enseignant de Bouaké ayant perdu l’usage d’un œil.
En effet, c’est de façon récurrente que l’on note de multiples cas d’agression d’enseignants, de personnels d’encadrement et d’élèves perpétrés par de tels individus se réclamant de la FESCI.
Ces actes de violence sont intolérables », déplore le communiqué. Au vu de ces actes, la ministre exhorte les élèves à se détourner de ces pratiques et invite la communauté éducative à prendre ses responsabilités. « Madame le Ministre invite la communauté éducative dans son ensemble et singulièrement les parents d’élèves à condamner de tels actes et à sensibiliser leurs enfants afin qu’ils évitent les actes de violence et de vandalisme.
Elle invite les élèves de Côte d’Ivoire à renoncer à la violence et à privilégier leur formation, dans un environnement paisible, condition première de la qualité et de la réussite pour tous les apprenants ».
« À travers un communiqué publié dans la presse et sur les réseaux sociaux, le Bureau Exécutif National de la FESCI appelle à des marches éclatées pour réclamer la libération d’élèves qui seraient emprisonnés et la réintégration d’autres qui seraient radiés.
Madame le Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Technique et la Formation Professionnelle tient à informer l’opinion nationale et internationale, que contrairement à ces allégations, aucun élève n’a été radié d’un établissement public de Côte d’Ivoire », indique le communiqué. Le communiqué dénonce également les actes de vandalisme dont font montre des élèves sur certains de leurs camarades et des enseignants. « Cependant, il est avéré que la police a interpellé des élèves pour détention de drogue et d’armes blanches et pour violences et voies de fait sur d’autres élèves et sur des enseignants qu’ils voulaient déloger.
Cela a occasionné des blessés graves dont un enseignant de Bouaké ayant perdu l’usage d’un œil.
En effet, c’est de façon récurrente que l’on note de multiples cas d’agression d’enseignants, de personnels d’encadrement et d’élèves perpétrés par de tels individus se réclamant de la FESCI.
Ces actes de violence sont intolérables », déplore le communiqué. Au vu de ces actes, la ministre exhorte les élèves à se détourner de ces pratiques et invite la communauté éducative à prendre ses responsabilités. « Madame le Ministre invite la communauté éducative dans son ensemble et singulièrement les parents d’élèves à condamner de tels actes et à sensibiliser leurs enfants afin qu’ils évitent les actes de violence et de vandalisme.
Elle invite les élèves de Côte d’Ivoire à renoncer à la violence et à privilégier leur formation, dans un environnement paisible, condition première de la qualité et de la réussite pour tous les apprenants ».