M. Jean-Marie ACKAH à l’étape de l’UNEMAF : « Nous devons traduire le principe de complémentarité en matrice d’action ».
L’Union des Entreprises Agricoles et Forestières (UNEMAF) a reçu le président de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) ce Jeudi 02 Mars 2017 dans le cadre des visites aux groupements et associations membres de la CGECI qu’il a entamé depuis le 19 Janvier 2017.
Le président de la CGECI a d’entrée de jeu, présenté sa vision pour les trois prochaines années à l’Union des Entreprises Agricoles et Forestières, représentée par son président M. Yoro Bi TIZIE accompagné de ses Vice-présidents et du Président d’Honneur, M. Fulgence KOFFI. Celle-ci se décline en trois axes principaux que sont : la préservation des acquis tout en restant une force de proposition, le renforcement de la gouvernance de l’organisation à travers un toilettage des textes et l’orientation de l’action patronale en direction des associations et groupements membres qui se traduit par une réorganisation de la Direction exécutive avec la création de la Direction des Services d’Appuis aux Entreprises (DSAE) chargée particulièrement d’établir des échanges permanents avec les faîtières en vue de la mise en place d’une matrice d’action actualisée. Sans oublier l’autonomisation financière de la Confédération.
Pour le président de l’UNEMAF, M. Yoro Bi TIZIE, les motifs de satisfaction sont nombreux notamment le renforcement de la représentation de l’UNEMAF au sein des instances de la CGECI, la rationalisation et l’amélioration des mécanismes du plaidoyer de la cgeci. Cependant, M. Yoro Bi n’a pas manqué de poser les préoccupations de son organisation qui prennent en compte le renforcement des capacités, la prise en compte des questions de la réformes des filières Hévéa et Palmier à huile, la taxe sur le caoutchouc granulé spécifié, la fiscalité dans la filière bois, l’application du salaire minimum agricole garanti (SMAG) adopté au niveau de la Commission Indépendante Permanente de Concertation (CIPC).
A ces préoccupations, le président de la CGECI, M. Jean-Marie ACKAH a pris bonne note. Il a cependant fait savoir que certaines doléances évoquées par l’UNEMAF ont déjà été prises en compte dans la matrice des préoccupations transmise au Premier Ministre dans le cadre du conseil de concertation Etat/Secteur Privé qui s’est tenu le 23 Février 2017 à la primature. Il y figure les doléances liées au secteur de l’hévéa et du bois notamment. ‘’ Nous voulons être davantage proches des membres pour porter leurs préoccupations dans le principe de complémentarité’’. A expliqué M. Jean-Marie ACKAH avant de poursuivre en ces termes : ‘’Nous avons demandé à la Direction Exécutive de mettre en place une méthode de travail très précise, à travers la conférence des secrétaires des groupements, qui permet d’avoir une matrice des préoccupations des organisations. De sorte à en avoir une idée claire. Le rôle du bureau du conseil est d’assurer le monitoring de ces préoccupations ». Pour lui, il est nécessaire de traduire le principe de complémentarité en matrice d’action.
Il a enfin invité les organisations à s’impliquer davantage dans cette nouvelle méthode de travail.
L’Union des Entreprises Agricoles et Forestières (UNEMAF) a reçu le président de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) ce Jeudi 02 Mars 2017 dans le cadre des visites aux groupements et associations membres de la CGECI qu’il a entamé depuis le 19 Janvier 2017.
Le président de la CGECI a d’entrée de jeu, présenté sa vision pour les trois prochaines années à l’Union des Entreprises Agricoles et Forestières, représentée par son président M. Yoro Bi TIZIE accompagné de ses Vice-présidents et du Président d’Honneur, M. Fulgence KOFFI. Celle-ci se décline en trois axes principaux que sont : la préservation des acquis tout en restant une force de proposition, le renforcement de la gouvernance de l’organisation à travers un toilettage des textes et l’orientation de l’action patronale en direction des associations et groupements membres qui se traduit par une réorganisation de la Direction exécutive avec la création de la Direction des Services d’Appuis aux Entreprises (DSAE) chargée particulièrement d’établir des échanges permanents avec les faîtières en vue de la mise en place d’une matrice d’action actualisée. Sans oublier l’autonomisation financière de la Confédération.
Pour le président de l’UNEMAF, M. Yoro Bi TIZIE, les motifs de satisfaction sont nombreux notamment le renforcement de la représentation de l’UNEMAF au sein des instances de la CGECI, la rationalisation et l’amélioration des mécanismes du plaidoyer de la cgeci. Cependant, M. Yoro Bi n’a pas manqué de poser les préoccupations de son organisation qui prennent en compte le renforcement des capacités, la prise en compte des questions de la réformes des filières Hévéa et Palmier à huile, la taxe sur le caoutchouc granulé spécifié, la fiscalité dans la filière bois, l’application du salaire minimum agricole garanti (SMAG) adopté au niveau de la Commission Indépendante Permanente de Concertation (CIPC).
A ces préoccupations, le président de la CGECI, M. Jean-Marie ACKAH a pris bonne note. Il a cependant fait savoir que certaines doléances évoquées par l’UNEMAF ont déjà été prises en compte dans la matrice des préoccupations transmise au Premier Ministre dans le cadre du conseil de concertation Etat/Secteur Privé qui s’est tenu le 23 Février 2017 à la primature. Il y figure les doléances liées au secteur de l’hévéa et du bois notamment. ‘’ Nous voulons être davantage proches des membres pour porter leurs préoccupations dans le principe de complémentarité’’. A expliqué M. Jean-Marie ACKAH avant de poursuivre en ces termes : ‘’Nous avons demandé à la Direction Exécutive de mettre en place une méthode de travail très précise, à travers la conférence des secrétaires des groupements, qui permet d’avoir une matrice des préoccupations des organisations. De sorte à en avoir une idée claire. Le rôle du bureau du conseil est d’assurer le monitoring de ces préoccupations ». Pour lui, il est nécessaire de traduire le principe de complémentarité en matrice d’action.
Il a enfin invité les organisations à s’impliquer davantage dans cette nouvelle méthode de travail.