Yamoussoukro - En Côte d’Ivoire, le taux de réalisation de l’inscription en ligne des élèves de la sixième à la terminale a atteint cette année un taux de réalisation de 99,74%, a révélé le directeur de cabinet du ministre de l’Éducation nationale de l’enseignement technique et de la formation professionnelle (MENETFP) Kabran Assoumou, estimant que le processus est désormais maîtrisé.
Selon le directeur de cabinet, vendredi à Yamoussoukro lors d’un atelier bilan, la proportion restante de 0,06% est le fait de ceux qui se sont mal inscrits ou qui s’obstinent à se mettre dans un système de refus. « Mais le processus est irréversible », a prévenu Kabran Assoumou qui s’est dit satisfait de la bonne évolution, depuis cinq ans, de l’inscription en ligne tombée désormais, selon lui dans le domaine public.
« Au niveau du primaire, il s’agit de l’immatriculation. Et nous avons immatriculé tous les élèves du CM2. Les élèves du CP1 au CM1 ayant un extrait de naissance sont immatriculés et cela se fait gratuitement », a fait savoir le directeur de cabinet du MENETFP.
L’immatriculation des élèves en Côte d’Ivoire a commencé en 1995 et la phase pilote a duré trois ans, avant la généralisation en 1998, a rappelé Kabran Assoumou.
Pour le sous-directeur du système d’information de la direction des Stratégies, de la Planification et des Statistiques (DSPS), Coulibaly Gninhoyo, les objectifs de sécurisation des fonds des inscriptions en ligne, de fiabilisation et de consolidation des fichiers des élèves sont atteints. Le MENETFP peut désormais éditer les fichiers comportant la photo des élèves, gérer directement les affectations et constituer les fichiers des candidats aux examens qui se font désormais de manière automatique et dans le délai, a-t-il ajouté.
« Ce genre de bilan vise à rassurer les Ivoiriens et à leur dire que nous avons le souci de les protéger », a indiqué Kabran Assoumou, justifiant que, par le passé, les établissements, avec de gros effectifs, ont été victimes de vols, d’agressions et de braquages pendant les inscriptions. « C’était des risques que notre personnel prenait. Plus question d’exposer la vie humaine », a rassuré Kabran Assoumou.
L’atelier bilan de l’inscription en ligne rassemble à l’hôtel Président de Yamoussoukro, les différents opérateurs du mobile, les gestionnaires des établissements privés, des directeurs généraux et des membres du cabinet du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle en vue de s’accorder sur la démarche à suivre pour parfaire l’opération pour arriver à la satisfaction totale des usagers.
nam/kp
Selon le directeur de cabinet, vendredi à Yamoussoukro lors d’un atelier bilan, la proportion restante de 0,06% est le fait de ceux qui se sont mal inscrits ou qui s’obstinent à se mettre dans un système de refus. « Mais le processus est irréversible », a prévenu Kabran Assoumou qui s’est dit satisfait de la bonne évolution, depuis cinq ans, de l’inscription en ligne tombée désormais, selon lui dans le domaine public.
« Au niveau du primaire, il s’agit de l’immatriculation. Et nous avons immatriculé tous les élèves du CM2. Les élèves du CP1 au CM1 ayant un extrait de naissance sont immatriculés et cela se fait gratuitement », a fait savoir le directeur de cabinet du MENETFP.
L’immatriculation des élèves en Côte d’Ivoire a commencé en 1995 et la phase pilote a duré trois ans, avant la généralisation en 1998, a rappelé Kabran Assoumou.
Pour le sous-directeur du système d’information de la direction des Stratégies, de la Planification et des Statistiques (DSPS), Coulibaly Gninhoyo, les objectifs de sécurisation des fonds des inscriptions en ligne, de fiabilisation et de consolidation des fichiers des élèves sont atteints. Le MENETFP peut désormais éditer les fichiers comportant la photo des élèves, gérer directement les affectations et constituer les fichiers des candidats aux examens qui se font désormais de manière automatique et dans le délai, a-t-il ajouté.
« Ce genre de bilan vise à rassurer les Ivoiriens et à leur dire que nous avons le souci de les protéger », a indiqué Kabran Assoumou, justifiant que, par le passé, les établissements, avec de gros effectifs, ont été victimes de vols, d’agressions et de braquages pendant les inscriptions. « C’était des risques que notre personnel prenait. Plus question d’exposer la vie humaine », a rassuré Kabran Assoumou.
L’atelier bilan de l’inscription en ligne rassemble à l’hôtel Président de Yamoussoukro, les différents opérateurs du mobile, les gestionnaires des établissements privés, des directeurs généraux et des membres du cabinet du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle en vue de s’accorder sur la démarche à suivre pour parfaire l’opération pour arriver à la satisfaction totale des usagers.
nam/kp