Abidjan - Des participants aux premières journées africaines d’endocrinologie clinique ont exprimé leur satisfaction, vendredi, lors de la cérémonie de clôture à Abidjan-Plateau.
« Je suis très heureux de me retrouver à Abidjan et d’avoir pris part à ces différentes réunions qui m’ont permis de savoir que les problèmes endocriniens sont nombreux et qu’il n’y pas que le diabète. Faute de connaissance, on a l’impression que les maladies endocriniennes sont rares alors qu’elles existent et font ravage au sein de nos populations. Je salue la dextérité des initiateurs et je les encourage à multiplier ces rencontres que j’estime prometteuses », a déclaré le vice-président de la société francophone du diabète, Pr Henri Germain Monabeka du Congo Brazzaville.
Dr Ngague Tallo Kossi, originaire du Tchad et en formation au diplôme d’étude supérieur (DES) en endocrinologie métabolisme et nutrition estime pour sa part que ces genre de cadre sont bienvenus pour traiter la question des maladies endocriniennes. « Ces réunions nous permettent de nous recycler et de nous informer sur les nouvelles recommandations », a-t-il ajouté.
Même son de cloche pour Dr Eboungabeka Dorcas du Congo qui prépare également un DES en endocrinologie métabolisme et nutrition. "Ces journées nous ont permis de voir les défis qui nous attendant en tant qu’étudiant. Elles ont été bénéfiques pour notre formation", a-t-il estimé.
Ces premières journées africaines d’endocrinologie clinique qui ont porté sur le goitre, le diabète et les maladies chroniques ont été dédiées au Professeur Adrien Lokrou, premier endocrinologue de Côte d’Ivoire.
Démarrées jeudi, ces journées ont été précédées d’activités sociales marquées par une grande marche, une séance de dépistage et une conférence sur les maladies chroniques. Mais également par une formation des jeunes sur l’épidémiologie des maladies cliniques et la première réunion du groupe de haut niveau qui a réuni les experts de la France, du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne.
Près de 400 participants dont 150 du Magrheb et d'autres pays africains ont pris part à ces journées. Certains ont été invités samedi à une visite touristique à Yamoussoukro, notamment à la Basilique notre dame de la paix et au lac aux caïmans.
bsb/cmas
« Je suis très heureux de me retrouver à Abidjan et d’avoir pris part à ces différentes réunions qui m’ont permis de savoir que les problèmes endocriniens sont nombreux et qu’il n’y pas que le diabète. Faute de connaissance, on a l’impression que les maladies endocriniennes sont rares alors qu’elles existent et font ravage au sein de nos populations. Je salue la dextérité des initiateurs et je les encourage à multiplier ces rencontres que j’estime prometteuses », a déclaré le vice-président de la société francophone du diabète, Pr Henri Germain Monabeka du Congo Brazzaville.
Dr Ngague Tallo Kossi, originaire du Tchad et en formation au diplôme d’étude supérieur (DES) en endocrinologie métabolisme et nutrition estime pour sa part que ces genre de cadre sont bienvenus pour traiter la question des maladies endocriniennes. « Ces réunions nous permettent de nous recycler et de nous informer sur les nouvelles recommandations », a-t-il ajouté.
Même son de cloche pour Dr Eboungabeka Dorcas du Congo qui prépare également un DES en endocrinologie métabolisme et nutrition. "Ces journées nous ont permis de voir les défis qui nous attendant en tant qu’étudiant. Elles ont été bénéfiques pour notre formation", a-t-il estimé.
Ces premières journées africaines d’endocrinologie clinique qui ont porté sur le goitre, le diabète et les maladies chroniques ont été dédiées au Professeur Adrien Lokrou, premier endocrinologue de Côte d’Ivoire.
Démarrées jeudi, ces journées ont été précédées d’activités sociales marquées par une grande marche, une séance de dépistage et une conférence sur les maladies chroniques. Mais également par une formation des jeunes sur l’épidémiologie des maladies cliniques et la première réunion du groupe de haut niveau qui a réuni les experts de la France, du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne.
Près de 400 participants dont 150 du Magrheb et d'autres pays africains ont pris part à ces journées. Certains ont été invités samedi à une visite touristique à Yamoussoukro, notamment à la Basilique notre dame de la paix et au lac aux caïmans.
bsb/cmas