Niakara - Le représentant du ministère des Ressources animales et halieutiques (MIRAH) de Niakara (Centre-Nord, région du Hambol), M. Sahin Dibo Thimotée, a expliqué la politique de développement de l'élevage à des acteurs de la filière bétail ainsi qu’aux autorités administratives, traditionnelles et religieuses, et aux populations locales.
Mardi lors de la cérémonie de remise des clés du parc à bétail de Niakara, M. Sahin a présenté des pans du Plan stratégique de développement de l'élevage, de la pêche et de l'aquaculture en Côte d'Ivoire (PSDEPA 2014-2020).
Selon le directeur départemental du MIRAH de Niakara, la stratégie de relance de l'élevage par le biais du PSDEPA 2014-2020, vise à améliorer le taux de couverture des besoins nationaux en viande et en abats. Ce taux qui était de 26,69 % en 2014 devrait atteindre 61,62 % en 2020.
« Ce taux de couverture de nos besoins en viande reste un défi réalisable pour la Côte d'Ivoire en général et dans le département de Niakara en particulier, et ce, grâce aux potentialités géographiques, aux ressources humaines et surtout grâce l'harmonie entre agriculteurs et éleveurs », a-t-il soutenu.
Pour sa consommation en lait et produits laitiers, la Côte d'Ivoire dépendait de 83% des importations en 2011. Quant aux importations liées à la viande de bovins, petits ruminants et de porcins, elles étaient respectivement de 58%,32% et 46 % à cette même période, avec une proportion de 3% au niveau de la volaille. D'où le PSDEPA 2014-2020, pour faire face aux besoins nationaux tout en créant des emplois.
jbm/cmas
Mardi lors de la cérémonie de remise des clés du parc à bétail de Niakara, M. Sahin a présenté des pans du Plan stratégique de développement de l'élevage, de la pêche et de l'aquaculture en Côte d'Ivoire (PSDEPA 2014-2020).
Selon le directeur départemental du MIRAH de Niakara, la stratégie de relance de l'élevage par le biais du PSDEPA 2014-2020, vise à améliorer le taux de couverture des besoins nationaux en viande et en abats. Ce taux qui était de 26,69 % en 2014 devrait atteindre 61,62 % en 2020.
« Ce taux de couverture de nos besoins en viande reste un défi réalisable pour la Côte d'Ivoire en général et dans le département de Niakara en particulier, et ce, grâce aux potentialités géographiques, aux ressources humaines et surtout grâce l'harmonie entre agriculteurs et éleveurs », a-t-il soutenu.
Pour sa consommation en lait et produits laitiers, la Côte d'Ivoire dépendait de 83% des importations en 2011. Quant aux importations liées à la viande de bovins, petits ruminants et de porcins, elles étaient respectivement de 58%,32% et 46 % à cette même période, avec une proportion de 3% au niveau de la volaille. D'où le PSDEPA 2014-2020, pour faire face aux besoins nationaux tout en créant des emplois.
jbm/cmas