Soubré - La Commission régionale des droits de l’Homme pour la Nawa a organisé un atelier de réflexion pour la vulgarisation de la loi sur l’école obligatoire à l’attention des directeurs et chefs de service ainsi que des parents d’élèves et des leaders communautaires et chefs traditionnels.
Le secrétaire général de la Commission régionale, Koné Tiègbato, a expliqué qu’en initiant cet atelier de sensibilisation sur l’école obligatoire, il s’agit pour la Commission nationale des droits de l'Homme de Côte d'Ivoire (CNDHCI) de contribuer au relèvement du niveau de mise en œuvre du droit à l’Education et de renforcer ainsi le cadre de protection des droits humains.
Il a souhaité que cet atelier aide à non seulement comprendre cette loi, mais aussi et surtout faire un diagnostic de la situation avec en prime des propositions pertinentes.
Le préfet de région de la Nawa et du département de Soubré, Alliali Kouadio, a salué l’initiative de la Commission des droits de l’Homme. pour lui, les réflexions devraient permettre de trouver les stratégies pour la réussite de l’école obligatoire en montrant comment surmonter les obstacles. «Une loi est votée, il s’agit d’identifier les insuffisances et obstacles et faire des propositions pertinentes et cela passe par la maîtrise et la connaissance du contenu de la loi », a-t-il expliqué, jeudi, à l’ouverture des travaux.
Le directeur régional de l’Education nationale à Soubré, Silué Laciné, a évoqué les difficultés rencontrées et surtout relevé le faible taux de scolarisation. Ceci constitue, a-t-il noté, un signe de la non adhésion des parents à la politique de l’école obligatoire.
km/kkf/cmas
Le secrétaire général de la Commission régionale, Koné Tiègbato, a expliqué qu’en initiant cet atelier de sensibilisation sur l’école obligatoire, il s’agit pour la Commission nationale des droits de l'Homme de Côte d'Ivoire (CNDHCI) de contribuer au relèvement du niveau de mise en œuvre du droit à l’Education et de renforcer ainsi le cadre de protection des droits humains.
Il a souhaité que cet atelier aide à non seulement comprendre cette loi, mais aussi et surtout faire un diagnostic de la situation avec en prime des propositions pertinentes.
Le préfet de région de la Nawa et du département de Soubré, Alliali Kouadio, a salué l’initiative de la Commission des droits de l’Homme. pour lui, les réflexions devraient permettre de trouver les stratégies pour la réussite de l’école obligatoire en montrant comment surmonter les obstacles. «Une loi est votée, il s’agit d’identifier les insuffisances et obstacles et faire des propositions pertinentes et cela passe par la maîtrise et la connaissance du contenu de la loi », a-t-il expliqué, jeudi, à l’ouverture des travaux.
Le directeur régional de l’Education nationale à Soubré, Silué Laciné, a évoqué les difficultés rencontrées et surtout relevé le faible taux de scolarisation. Ceci constitue, a-t-il noté, un signe de la non adhésion des parents à la politique de l’école obligatoire.
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