L’Aéroport Félix Houphouët Boigny a été ce mardi 21 mars, le théâtre d’une scène pleine de retour de 151 immigrés clandestins qui ont décidé de retourner au bercail après leur tentative infructueuse de migrer en Europe via la Libye.
Cette initiative a été motivée par l’OIM (Organisation internationale pour les migrations) en collaboration avec la DGIE (Direction Générale des Ivoirien de l’Extérieur) pour accueillir ces enfants (mineurs), jeunes femmes, jeunes hommes, femmes et hommes qui étaient voués à la précarité des conditions de vie en Libye après l’échec de leur migration irrégulière.
Les premières impressions à chaud ont été mêlées à la fois de larmes et de joie. Sous le couvert de l’anonymat, des jeunes hommes heureux et fiers de retourner dans leur pays après avoir raconté leur calvaire en Lybie où plusieurs d’entre eux ont mainte fois fait la prison dans des conditions inhumaines pendant plusieurs mois.
Après avoir dépensé plus d’un million de F CFA pour se rendre en Libye, la plupart de ces migrants ont tous vécu un cauchemar. Cette situation désobligeante a été interrompue par l’OIM qui a récupéré plusieurs d’entre eux dans des conditions carcérales pénibles.
Aujourd’hui, ces migrants, pas tous ivoiriens, reviennent à de sentiments meilleurs et espèrent une intégration socioprofessionnelle de la part de l’Etat de Côte d’Ivoire. Ceux qui par contre ne s’avouent pas vaincu quant à leur projet de migration se repentent de l’option Libyenne et de la traversée de la méditerranée.
« Si je dois retourner, ce n’est plus par le désert, ni la Lybie, mais plutôt la voie légale » a confié Soro Moumouni.
Selon le DG de la DGIE, M. Issiaka Konaté, cette opération est un bon signe pour le Gouvernement et il va falloir continuer dans ce sens. Ce sont plus d’un millier de ressortissants ivoiriens qui sont déjà revenus à ce jour.
JOB ATTEMENE
Cette initiative a été motivée par l’OIM (Organisation internationale pour les migrations) en collaboration avec la DGIE (Direction Générale des Ivoirien de l’Extérieur) pour accueillir ces enfants (mineurs), jeunes femmes, jeunes hommes, femmes et hommes qui étaient voués à la précarité des conditions de vie en Libye après l’échec de leur migration irrégulière.
Les premières impressions à chaud ont été mêlées à la fois de larmes et de joie. Sous le couvert de l’anonymat, des jeunes hommes heureux et fiers de retourner dans leur pays après avoir raconté leur calvaire en Lybie où plusieurs d’entre eux ont mainte fois fait la prison dans des conditions inhumaines pendant plusieurs mois.
Après avoir dépensé plus d’un million de F CFA pour se rendre en Libye, la plupart de ces migrants ont tous vécu un cauchemar. Cette situation désobligeante a été interrompue par l’OIM qui a récupéré plusieurs d’entre eux dans des conditions carcérales pénibles.
Aujourd’hui, ces migrants, pas tous ivoiriens, reviennent à de sentiments meilleurs et espèrent une intégration socioprofessionnelle de la part de l’Etat de Côte d’Ivoire. Ceux qui par contre ne s’avouent pas vaincu quant à leur projet de migration se repentent de l’option Libyenne et de la traversée de la méditerranée.
« Si je dois retourner, ce n’est plus par le désert, ni la Lybie, mais plutôt la voie légale » a confié Soro Moumouni.
Selon le DG de la DGIE, M. Issiaka Konaté, cette opération est un bon signe pour le Gouvernement et il va falloir continuer dans ce sens. Ce sont plus d’un millier de ressortissants ivoiriens qui sont déjà revenus à ce jour.
JOB ATTEMENE