Plusieurs officiers de la police judiciaire renforcent leurs capacités
a un atelier de renforcement des capacités à l'intention d'une vingtaine d'Officiers de la police judiciaire (OPJ) et des Forces Armées de Côte d'Ivoire des régions de Gbêkê et du Hambol, sur l'information et la diffusion de la loi numéro 2014-388 du 20 juin 2014 portant protection des défenseurs des droits de l'homme (DDH) en Côte d'Ivoire.
Les hommes en tenue, durant deux jours, ont été outillés pour une meilleure connaissance du cadre légal de la protection des DDH. Et ce grâce à cette formation initiée par la Clinique juridique de Bouaké, en partenariat avec Avocat sans frontières (France) et l'Association des femmes juristes de Côte d'Ivoire dans le cadre de la réalisation de l'activité 2 du projet de Promotion et de protection des défenseurs des droits de l'homme (Prodef) et financé par l'USAID. Ce programme de formation qui s'adresse essentiellement aux OPJ vise à informer ses acteurs de la chaîne judiciaire agissant dans la zone de couverture du projet de l'existence de la loi numéro 2014-388 du 20 juillet 2014 portant protection des défenseurs des droits de l'homme en Côte d'Ivoire et de les amener à s'en approprier afin d'en tenir compte dans l'exercice de leurs fonctions. Madame Corine Adjo Marie Moussa épse Koné, responsable de la Clinique juridique de Bouaké, a indiqué que cette formation permettra aux OPJ d'avoir une meilleure connaissance sur la protection des DDH. « Notre pays, la Côte d'Ivoire est le premier pays africain à se doter d'une loi qui protège les défenseurs des droits de l'homme. Vous ne devez pas considérer les défenseurs des droits de l'homme comme des ennemis », a-t-elle dit. A la cérémonie d'ouverture, M. Djegnine Tchétché, substitut du procureur de la République près le Tribunal de Première Instance de Bouaké, a remercié le gouvernement américain à travers l'USAID pour tous les efforts déployés pour l'amélioration de justice et des droits de l'homme en Côte d'Ivoire. « Notre pays a, ces dernières années, fait de nombreux efforts au niveau de la promotion et de la protection des droits de l'homme. Il a ratifié de multiples conventions consacrant et protégeant les droits de l’homme », a-t-il ajouté. Pour lui, en adoptant la présente loi, la Côte d'Ivoire montre sa volonté de faire respecter les droits de l'homme et de faire du respect des droits de l'homme, une priorité pour la consolidation de l'Etat de droit. C'est pourquoi, Il a exhorté les participants à suivre avec intérêt cet atelier.
Aboubacar Al Syddick à Bouaké
a un atelier de renforcement des capacités à l'intention d'une vingtaine d'Officiers de la police judiciaire (OPJ) et des Forces Armées de Côte d'Ivoire des régions de Gbêkê et du Hambol, sur l'information et la diffusion de la loi numéro 2014-388 du 20 juin 2014 portant protection des défenseurs des droits de l'homme (DDH) en Côte d'Ivoire.
Les hommes en tenue, durant deux jours, ont été outillés pour une meilleure connaissance du cadre légal de la protection des DDH. Et ce grâce à cette formation initiée par la Clinique juridique de Bouaké, en partenariat avec Avocat sans frontières (France) et l'Association des femmes juristes de Côte d'Ivoire dans le cadre de la réalisation de l'activité 2 du projet de Promotion et de protection des défenseurs des droits de l'homme (Prodef) et financé par l'USAID. Ce programme de formation qui s'adresse essentiellement aux OPJ vise à informer ses acteurs de la chaîne judiciaire agissant dans la zone de couverture du projet de l'existence de la loi numéro 2014-388 du 20 juillet 2014 portant protection des défenseurs des droits de l'homme en Côte d'Ivoire et de les amener à s'en approprier afin d'en tenir compte dans l'exercice de leurs fonctions. Madame Corine Adjo Marie Moussa épse Koné, responsable de la Clinique juridique de Bouaké, a indiqué que cette formation permettra aux OPJ d'avoir une meilleure connaissance sur la protection des DDH. « Notre pays, la Côte d'Ivoire est le premier pays africain à se doter d'une loi qui protège les défenseurs des droits de l'homme. Vous ne devez pas considérer les défenseurs des droits de l'homme comme des ennemis », a-t-elle dit. A la cérémonie d'ouverture, M. Djegnine Tchétché, substitut du procureur de la République près le Tribunal de Première Instance de Bouaké, a remercié le gouvernement américain à travers l'USAID pour tous les efforts déployés pour l'amélioration de justice et des droits de l'homme en Côte d'Ivoire. « Notre pays a, ces dernières années, fait de nombreux efforts au niveau de la promotion et de la protection des droits de l'homme. Il a ratifié de multiples conventions consacrant et protégeant les droits de l’homme », a-t-il ajouté. Pour lui, en adoptant la présente loi, la Côte d'Ivoire montre sa volonté de faire respecter les droits de l'homme et de faire du respect des droits de l'homme, une priorité pour la consolidation de l'Etat de droit. C'est pourquoi, Il a exhorté les participants à suivre avec intérêt cet atelier.
Aboubacar Al Syddick à Bouaké