La ministre du Plan et du Développement de Côte d’Ivoire Nialé Kaba a plaidé jeudi pour la promotion de entrepreneuriat féminin.
Mme Kaba qui intervenait dans le cadre d’un panel en marge de la Conférence internationale sur l’Emergence de l’Afrique (CIEA) a indiqué que la représentativité de la femme dans les cercles de décision et dans les activités formelles doit être améliorée.
"Les femmes c’est 50% d’intelligence qui doit accompagner le développement des Etats", a-t-elle noté.
Pour sa part, la directrice de Cabinet du ministre de la femme de la protection de l’Enfant et de la Solidarité Yvonne Bosso a relevé que l’émergence des Etats africains ne peut se faire sans le pilier spécifique qu’est la femme.
"Le financement de l’entrepreneuriat féminin constitue un défi que les Etats doivent prendre en compte dans leur développement", a estimé Mme Bosso.
"L’émergence de l’Afrique ne saurait se réaliser sans la pleine participation des femmes en général et des femmes entrepreneures en particulier", a-t-elle conclu.
La vice-présidente de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) Massogbê Touré a de son côté plaidé à l’endroit des banques et structures de financement en faveur d’un mécanisme innovant pour le financement de l’entrepreneuriat féminin.
"Les femmes sont moteur de développement", a souligné Mme Massogbê.
Le panel sur le financement de entrepreneuriat féminin a vu la participation de centaines de femmes issues de différents secteurs d’activités et d’une dizaine de pays Africains.
La deuxième édition de la Conférence Internationale sur l’Emergence de l’Afrique (CIEA) s’est tenue e mardi à jeudi à Abidjan en présence des présidents de Côte d’Ivoire Alassane Ouattara, du Libéria Ellen Johson Sirleaf, de Guinée Alpha Condé, du Sénégal Macky Sall et de l’administrateur du Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD) Helen Clark
Mme Kaba qui intervenait dans le cadre d’un panel en marge de la Conférence internationale sur l’Emergence de l’Afrique (CIEA) a indiqué que la représentativité de la femme dans les cercles de décision et dans les activités formelles doit être améliorée.
"Les femmes c’est 50% d’intelligence qui doit accompagner le développement des Etats", a-t-elle noté.
Pour sa part, la directrice de Cabinet du ministre de la femme de la protection de l’Enfant et de la Solidarité Yvonne Bosso a relevé que l’émergence des Etats africains ne peut se faire sans le pilier spécifique qu’est la femme.
"Le financement de l’entrepreneuriat féminin constitue un défi que les Etats doivent prendre en compte dans leur développement", a estimé Mme Bosso.
"L’émergence de l’Afrique ne saurait se réaliser sans la pleine participation des femmes en général et des femmes entrepreneures en particulier", a-t-elle conclu.
La vice-présidente de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) Massogbê Touré a de son côté plaidé à l’endroit des banques et structures de financement en faveur d’un mécanisme innovant pour le financement de l’entrepreneuriat féminin.
"Les femmes sont moteur de développement", a souligné Mme Massogbê.
Le panel sur le financement de entrepreneuriat féminin a vu la participation de centaines de femmes issues de différents secteurs d’activités et d’une dizaine de pays Africains.
La deuxième édition de la Conférence Internationale sur l’Emergence de l’Afrique (CIEA) s’est tenue e mardi à jeudi à Abidjan en présence des présidents de Côte d’Ivoire Alassane Ouattara, du Libéria Ellen Johson Sirleaf, de Guinée Alpha Condé, du Sénégal Macky Sall et de l’administrateur du Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD) Helen Clark