« La Côte d’Ivoire a investi depuis de nombreuses années dans les ressources humaines. Notamment dans le domaine de la santé et de l’éducation, indispensables à tout développement. Les États-Unis sont satisfaits des engagements du gouvernement ivoirien à améliorer les conditions de vie des populations », a dit le mardi 4 avril 2017, à la salle Ameriacan Corner de l’Université Alassane Ouattara (Uao) à Bouaké, Andrew Haviland, chargé d’Affaires à l’Ambassade des États-Unis en Côte d’Ivoire.
Profitant de cette occasion, il a échangé sur les projets financés par son gouvernement dans la région du Gbêkê, notamment dans le domaine de la santé, de l’éducation, des droits de l’homme, de la démocratie et du développement communautaire.
« Nous voulons soutenir la croissance économique de la Côte d’Ivoire. Car le pays est un exemple de croissance économique en Afrique. Aussi, de tous les pays africains, c’est la Côte d’Ivoire qui envoie le grand nombre d’étudiants aux Etats-Unis», a-t-il soutenu.
Cette rencontre était une escale dans le cadre de la visite de travail qu’il effectue à Korhogo, dans le Nord du pays.
À Bouaké il a visité les différentes réalisations des USA de la ville et échangé avec les responsables de l’Université Alassane Ouattara dans le domaine de la recherche scientifique.
« Nous voulons également accompagner le Professeur Lazare Poamé, président de cette université à faire d’elle une référence en Afrique », a-t-il dit.
À la tête d’une délégation des membres de son ambassade, Andrew Haviland a voulu aussi s’imprégner des conditions des étudiants et échanger avec eux, notamment sur les conditions d’attribution des bourses américaines.
Il a parlé du symposium sur la mangue prévu du 6 au 7 avril 2017 à Korhogo, organisé par le West Africa Trade and Investment Hub, une organisation financée par l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID).
« L’avenir économique de la Côte d’Ivoire dépend du secteur privé. Il s’agira de rencontres entre les producteurs, les transformateurs et les acheteurs de mangue pour voir comment nous pouvons mieux collaborer afin d’ajouter plus de valeur à la mangue ivoirienne qui est d’ailleurs très appréciée sur le marché international. Nous voulons attirer les investisseurs américains dans ce secteur et créer plus d’emploi pour les jeunes », a-t-il dit.
Il a offert, la somme de 10.000 Dollars (6.500.000 FCFA) et des livres aux responsables de l’American Corner.
En retour, Lazare Marcelin Poamé, président de l’Uao, a traduit toute sa reconnaissance à l’ambassade des États-Unis en Côte d’Ivoire et souhaité un appui constant du gouvernement américain à l’Institution qu’il dirige
Aboubacar Al Syddick à Bouaké
Profitant de cette occasion, il a échangé sur les projets financés par son gouvernement dans la région du Gbêkê, notamment dans le domaine de la santé, de l’éducation, des droits de l’homme, de la démocratie et du développement communautaire.
« Nous voulons soutenir la croissance économique de la Côte d’Ivoire. Car le pays est un exemple de croissance économique en Afrique. Aussi, de tous les pays africains, c’est la Côte d’Ivoire qui envoie le grand nombre d’étudiants aux Etats-Unis», a-t-il soutenu.
Cette rencontre était une escale dans le cadre de la visite de travail qu’il effectue à Korhogo, dans le Nord du pays.
À Bouaké il a visité les différentes réalisations des USA de la ville et échangé avec les responsables de l’Université Alassane Ouattara dans le domaine de la recherche scientifique.
« Nous voulons également accompagner le Professeur Lazare Poamé, président de cette université à faire d’elle une référence en Afrique », a-t-il dit.
À la tête d’une délégation des membres de son ambassade, Andrew Haviland a voulu aussi s’imprégner des conditions des étudiants et échanger avec eux, notamment sur les conditions d’attribution des bourses américaines.
Il a parlé du symposium sur la mangue prévu du 6 au 7 avril 2017 à Korhogo, organisé par le West Africa Trade and Investment Hub, une organisation financée par l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID).
« L’avenir économique de la Côte d’Ivoire dépend du secteur privé. Il s’agira de rencontres entre les producteurs, les transformateurs et les acheteurs de mangue pour voir comment nous pouvons mieux collaborer afin d’ajouter plus de valeur à la mangue ivoirienne qui est d’ailleurs très appréciée sur le marché international. Nous voulons attirer les investisseurs américains dans ce secteur et créer plus d’emploi pour les jeunes », a-t-il dit.
Il a offert, la somme de 10.000 Dollars (6.500.000 FCFA) et des livres aux responsables de l’American Corner.
En retour, Lazare Marcelin Poamé, président de l’Uao, a traduit toute sa reconnaissance à l’ambassade des États-Unis en Côte d’Ivoire et souhaité un appui constant du gouvernement américain à l’Institution qu’il dirige
Aboubacar Al Syddick à Bouaké